[WT'17] Bridgestone S4 - The End - Good Bye Bridgestone !

[Bad_Neos]

Tu l'as trankilou RJVR.

En vrai si tu arrives à l'avoir la saison suivante en WT

Négociation défavorable ++ il est 30 000 j'ai plus que 19 000 en réserve mais on sait jamais une fois j'ai réussi à chopper Felline pour 3500/1 An

[Bad_Neos]

Tour de Korea – 2.1 – 14 au 18 Mai

Allez, il est temps de continuer la bonne dynamique de l’équipe –surtout que l’autre escadron sera exposé à plus ample concurrence- face à la Uae notamment, qui amène là une équipe B++ entre Guardini, Marezcko, Swift et Mori, les italiens auront de quoi faire, mais il faudra néanmoins toujours se méfier de la rivale Ukyo avec Earle, Aberasturi, Guardiola ou leur nouveau néerlandais Bok ! Slalomant entre les rues parfois tortueuses de l’intérieur du pays menant à divers villages et stations, la course sera agitée comme jamais !

Effectif Bridgestone : Yudai Arashiro, Brad Evans, Yonathan Monsalve, Luis Mora, Jean Bosco Nsengimana, Toshiki Omote, Muhamad Adiq Othman

Etape 1 – Vallons – 184,4 km

On rentre directement dans le vif du sujet avec cette première étape assez longue et qui va permettre une première sélection dans les principaux coureurs jouant pour la gagne. Pas ultra-technique, il faudra cependant rester bien placer à l’avant pour aborder la seule montée de l’étape, qui officiera également comme délivrance du maillot à pois…Ce même qui institue le lancement de 7 coureurs dans lequel on retrouve le sprinteur de la Action, English, en tête d’épouvantail, tandis que le champion des émirats Mirza vient déjà se mettre à la planche pour ses leaders…ce qui n’empêche pas 3 autres coureurs de rejoindre l’avant de la course ! Disposant d’une belle avance d’un douzième d’heure, le crédit se verra graduellement repris au fil de la course sous l’impulsion de la Uae, qui réduit l’avance à environ 2 minutes à une soixantaine de kilomètres de l’arrivée, où des bordures commencent à se créer sous l’effet d’un vent modéré. Hi (Utsunomiya), pourtant sprinteur unique de son équipe, vient jeter ses dernières forces dans la montée, puis laisse généreusement le leadership de la course aux Bridgestone qui permettent au peloton de revenir à 40 secondes des échappées au sommet, moins d’une trentaine de bornes jusqu’à l’arrivée en contrebas. Leur travail est récompensé en éliminant notamment Park (Lx) pour le sprint, mais sans causer de grands dommages à un Swift par exemple…

Le rythme ne s’abaissera plus jusqu’au final, et ce malgré le vent qui forcit dans les dix derniers kilomètres qui permet de reprendre l’échappée aux 3 kilomètres et de filer à toute vitesse vers la ligne. Profitant de la désorganisation de l’échappée, la Bridgestone s’immisce sur la gauche de la route et vient déposer sur un nuage Othman qui s’imposer malgré le retour en flèche de Jakub Mareczko dans la dernière ligne droite !

Etape 2 – Plaine – 138,9 km

L’étape se mêle de respect et de crainte, également d’un soupçon d’excitation et d’une pincée de pourcentages infernaux…De nombreuses offensives prennent part à l’action mais c’est finalement un groupe de 8 emmené par Fedorov (Beijing) qui parvient à s’attirer les faveurs de l’incartade matinale, tant et si bien que 5 minutes sont rapidement prise sur la meute…avant que la Bridgestone ne vienne se porter en tête de file à l’approche du terrible enchainement proposé ! Revenu à 3’30’’ au sommet du premier grimpeur de la cible, l’écart ne cesse ensuite de diminuer alors qu’une trentaine de coureurs sont déjà annoncés en fringale à l’arrière ! Le rythme est d’ailleurs tellement élevé que les échappés sont quasiment tous repris avant le dernier grimpeur de la journée, seul Shi (Keyi) réussissant à conserver quelques points sur la ligne. Il faut dire que la sélection fut très rude, seuls Soto (Hengxiang), Earle et Guardiola suivant dans un premier temps le duo vénézuéliens de la Bridgestone, le trou consommé par Othman, avant que Mora et Monsalve ne creusent l’écart ensuite : 1’ de crédit sur le peloton dans lequel se sont garés Earle et les autres, mais également Swift ou Okubamariam, Abdul Halil, Riabushenko (Uae)…

Heureusement pour ces derniers, les vénézuéliens, considérant l’effort à fournir trop conséquent, décident de les attendre au sein d’un groupe de 29, tandis que la présence de Guardini et Marezcko est confirmée….à l’arrière de la course ! Recevant surtout l’aide de Traeen (Utsunomiya), l’équipe le laisse fournir l’effort pour distancer le deuxième peloton, mais face à tant de coureurs, le norvégien commence à piocher, tant et si bien qu’Othman décide de se sacrifier à 20 kilomètres de l’arrivée pour Mora, et bien lui en prends puisqu’on assiste juste après à plusieurs micro-attaques de la part d’Earle et Tecchio, guère que des banderilles face à la constance du rythme de notre malaisien, et ce malgré la présence du faux-plat montant pour les avantager, dans lequel Othman vient justement jeter ses dernières forces et lancer le groupe à 7 kilomètres du but, l’écart redescendu à 52’’…avant que Mora ne réalise une attaque foudroyante à 2 kilomètres plus loin grâce à la dernière difficulté présente, Swift et Okubamariam à sa poursuite une dizaine de secondes derrière…et si l’érythréen pioche dans le final, Swift vient manger Mora tout cru pour s’offrir les bras au ciel !

Etape 3 – Vallons – 173,9 km

Malgré la relative faible distance parcourue, les jambes commencent déjà à se faire lourdes chez certains éléments du peloton, et cela ne s’arrangera pas prochainement puisque leur calvaire va continuer aujourd’hui avec l’étape la plus dure de la semaine, et la plus sujette à un retournement de situation au général, d’un côté ou de l’autre ! Cela n’empêche pas 8 coureurs de prendre les devants sur la partie plane, dont Shi pour protéger son maillot à pois ! Ils ne le seront cependant pas longtemps car Nakata (Interpro) vient crever à 99 kilomètres de l’arrivée, alors même que le peloton commence à accélérer, disposé à 3 minutes de l’avant de course. Emmené par la Uae, la gueule béante du peloton reprends un à un les échappés dès le premier grimpeur, et bascule avec 79 éléments, reprenant également Shi dans la descente tandis que seuls Chen (Action) et Martin (7 Eleven) exercent une résistance, qui sera elle-même vaine quelques kilomètres plus loin à l’abord des contreforts de la deuxième montée. Immédiatement repris, ils voient cependant le peloton exploser en multiples fragments et de nombreux coureur les accompagner dans leur chute aux enfers…Seuls 8 coureurs basculent à l’avant : Othman, Monsalve, Mora, Earle, Swift, Soto, Guardiola et Abdul Halil.

Tecchio est pointé à 1’40’’, Boem à 2’15’’, Riabushenko à 42’’…et il reviendront pas après le gros travail qu’effectue Othman jusqu’à 19 kilomètres de l’arrivée, correspondant aux premiers pentes de la dernière difficulté, ce qui repousse les premiers poursuivants, Traeen, Bok et Lienhard (Utsunomiya), au-delà de la minute. Abdul Halil et Earle craquent les premiers sur le seul replat de la montée, à la relance, tout comme Soto quelques mètres plus loin, ce qui ne laisse plus que Monsalve pour emmener les 3 coureurs restants dans sa roue, et ce jusqu’au « sommet » du grimpeur, ou en tout cas la ligne l’indiquant, car la pente continue au-delà et Mora profite de l’approche du sommet pour porter une grosse attaque et profite de la bascule pour s’isoler en tête tandis que Swift lâche Guardiola dans la descente et essaye à tout prix de rentrer devant.

Les 28’’ le séparant de la tête sont cependant de trop et il cède malgré son acharnement tandis que Mora s’échine à accroître son avance ! Il finit par s’imposer avec plus d’une minute d’avance sur le duo qui s’est reformé, apparaissant seulement dans le lointain. Monsalve termine 4e à plus de 3’, Tecchio dernier favori seulement 18e mais à plus de 8’ !

Etape 4 – Plaine – 148,6 km

Enfin une vraie étape pour sprinteurs, plutôt, c’est l’occasion au jamais de frapper pour ses grosses cuisses, à condition de ne pas se faire surprendre par les échappés, au nombre de 8 et guidé par Nsengimana, surtout qu’un vent en rafale commence à souffler dès les premiers kilomètres et ne quittera plus les coureurs, laissant les grandes carcasses robustes se démener face à la bise…Cravachant de plein pied, ils réussissent péniblement à obtenir un crédit supérieur à 4 minutes. Derrière, la joie n’est pas non plus présente, surtout lorsque sur une accélération de l’avant du peloton dans la bascule du 3ème grimpeur, l’équipe Bridgestone se fait piéger, et alors que le groupe était sur le point de recoller, Ruscetta (Hainan) chute violemment en prenant son virage juste à la corde et entraine une vingtaine de coureurs dont Monsalve !

Mora à lui évité la chute de justesse et à recoller grâce au forcing d’Evans, Hatanaka restant seul en chasse-patate derrière, le reste choqué par la chute survenue. Seul top 10 piégé avec certains sprinteurs comme Okubamariam ou Aberasturi, le groupe va mettre beaucoup de temps à revenir mais grâce au sacrifice d’Omote, le groupe recolle à 22 kilomètres de l’arrivée…l’échappée complètement oublié à 2’52’’ ! Et l’entente est de plus au beau fixe, malgré la présence du sprint en bosse final qui en rebute quelques uns…Azman (Sapura), pas confiant en ses capacités de finisseur, tente de partir en solitaire à cinq kilomètres de l’arrivée, mais c’est sans compter sur Nsengimana qui prends sa roue, lance finalement son sprint après la reconstitution de l’échappée, et résiste au retour des autres dans les pourcentages présents dans les derniers mètres ! Le peloton arrive au final à près d’une minute, réglé par Marezcko.

Etape 5 – Vallons – 135,4 km

La dernière étape pour décider des classements…Personne ne voit la Bridgestone craquer, mais les malheurs sont parfois vite arrivés, surtout que le milieu d’étape s’avère relativement corsé avec son enchainement de cols…12 à l’avant avec encore des coureurs pas forcément habitués aux circonvolutions pentues tels qu’English (Action) ou Yang (Gapyeong), le groupe se détache nettement dans le premier grimpeur, prenant plus de 2 minutes à ajouter à un débours déjà deux fois plus consistant. Grappillant toujours, 8’10’’ en leur faveur au pied du 2ème catégorie, le peloton s’est lui scindé en 4 gros groupes dans la première ascension de la journée, 41 coureurs seulement au sommet, des coureurs comme Li (Hengxiang – 9e), Christie, Abdurrahman, Hatanaka ou Zurlo sont ainsi piégés, surtout que Mora vient ensuite imprimer lui –même le tempo en tête en compagnie de ses coéquipiers, faisant sauter un à un la tête de course ! Seuls Swift, Lienhard, Soto et Earle réussissent à tenir le rythme du vénézuélien, mais rapidement asphyxiés, Swift et Lienhard, puis Earle, se laissent décrocher pour gérer à leur rythme, Mora et Soto basculant à 4’40’’ des 5 hommes pouvant toujours prétendre à la victoire, le peloton favori groupé à 1’30’’ des deux poursuivants.

La suite de la course n’est cependant pas propice au lancement d’une échappée, ce qui permet le retour de grappes de l’arrière, les équipes se recomposant les unes après les autres au gré du déroulement des kilomètres, Fisseha (Kspo), Yang, English, Martin (7 Eleven) et Akparov (Beijing) en profitant pour s’octroyer 7’42’’ aux 10 kilomètres et donc une victoire de « prestige » sur une 2.1…Fisseha attaque bientôt et obtient une douzaine de secondes à son avantage…qui sera réduit jusqu’à être repris aux 4 kilomètres, English le chassant et contrant presque aussitôt malgré sa pointe de vitesse…Mal lui en prends puisqu’il se fait ensuite débordé de tout côté, finissant même dernier du groupe tandis que son concurrent le plus direct Yang vient s’offrir le bouquet, 10 minutes devant le peloton, lui permettant de revenir des alentours de la 70ème place à la 16ème, Akparov la 15ème ! Le général revient lui bien aux mains de la Bridgestone, tout comme le sprint, le classement jeune et l’équipe !

18 Mai 2018, 18h32

Une bonne chose de faite ! L'étincelle présente dans les regards enfiévrés s'est allumée tout au long de la semaine coréenne, le feu coulant dans les veines de nos coureurs ! Encore une fois, l'équipe démontre qu'elle est capable de belles choses face à des adversaires plus coriaces sur le papier, et la satisfaction est présent, surtout au regard de notre déconvenue sur la Route du Sud...bien qu'il reste encore une étape pour rattraper le coup. Il est aussi tant de faire place aux championnats nationaux sur lesquels nous briguons des ambitions légitimes !

[Coxo]

Non mais maintenant tu bats la UAE
Bridgestone ils ont des vélos électriques

[Orodreth]

Luis Mora qui va nous faire le triplé Giro-TdF-Vuelta la même année.

[Bad_Neos]

Non mais maintenant tu bats la UAE
Bridgestone ils ont des vélos électriques

Bawé mais la Uae elle a mis de la merde en montagne aussi j'y peux rien moi si Mora > Swift en Mo de base hein, j'ai juste emmené l'équipe type, et pas eux, en sachant qu'il repartent quand même avec la victoire de Swift sur la 2ème, J'ai juste profité de l'échappée sur la première .

Luis Mora qui va nous faire le triplé Giro-TdF-Vuelta la même année.

Déjà, Taiwan - Japon - Corée c'est plus dans ses cordes (il lui manque plus que Taiwan d'ailleurs, mais bon c'est Turgis qui l'a eu

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Pour les transferts, vous préférez continuer sur un modèle Quizz où vous cherchez et après je dévoilerais les coureurs 1 à 1, où préférez vous juste une présentation un peu plus sophistiquée des coureurs entre deux courses et non à la fin de la saison ? (dans les 2 cas vous pourrez participer pour les transfert S3, les sélections c'est bien, mais être plus nombreux, c'est mieux ! (sondage en haut)

[Bad_Neos]

N'oubliez pas le sondage !

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Route du Sud-La dépêche du Midi – 2.1 – 15 au 19 Juin

Direction le sud de la France pour une préparation au tour auquel Bardet n’a pas pu résister. Archi-favori « à domicile », il parait cependant bien seul en montagne même si les équipes denses comme Astana (Chernetckii, Cattaneo, Rossetto) ou Fdj (Gaudu, Hamilton) n’ont pas de top coureur à présenter malgré une consistance relativement homogène. Cofidis et Direct Energie viennent eux dans la perspective des sprints, Laporte, Boudat et Petit alignés. N’oublions pas non plus des coureurs tels que Wippert, Carthy ou Van Asbroeck pour la Cannondale ! Une petite place pour l’équipe ?

Effectif Bridgestone : Takayuki Abe, Matthieu Boulo, Ryo Chikatani, Sho Hatsuyama, Manabu Ishibashi, Shiki Kuroeda, Damien Monier, Adrien Niyonshuti

Etape 1 – Plaine – 154,2 km

Même pas outsiders pour cette course, on en profite pour glisser Niyonshuti dans l’échappée ! En compagnie de Seynaeve (Roubaix), Turgot (Delko), Quemeneur (AdT) et Amari (Veranda Rideau), c’est au final Vachon (Fortunéo) qui lui causera le plus de problème, sans pour autant réussir à lui chiper des points puisque c’est notre rwandais qui passe en tête des deux premiers grimpeurs, au moment où les hommes de tête disposent de 6 minutes. Toujours avec 2’ à 30 kilomètres de l’arrivée, le rythme est cependant très élevé, le peloton mené par Menut (Cofidis), mais surtout 4 Cannondale ! Seynaeve est le premier à craquer à 27 kilomètres, mais les autres se révèlent eux aussi à bout après avoir disputé les sprints intermédiaires…tant et si bien que Niyonshuti décide de tenter sa chance seul pour décrocher les derniers points de la journée, mais même lui finit par se faire reprendre au pied de la dernière côte ! 82 unités menées tambour battant par Cofidis et Cannondale s’engage dans la montée et bascule vers le final qui vient sacrer des outsiders ! Tronet et Lecroq viennent coiffer Laporte au poteau malgré le travail monumental de son équipe !

Etape 2 – Plaine – 176,8 km

Niyonshuti repart pour aller grappiller quelques points, cette fois seulement en comité réduit puisque seuls Seigle (Fdj) et Sinner (Hp-Btp). Prenant rapidement plus de 4 minutes d’avance, ils mettront un temps, ayant prématurément laissé pendouiller leurs oreillettes, avant de se rendre compte qu’une chute massive aura eu lieu dans le peloton ! Vanbilsen (Cofidis) à en effet provoqué une lourde chute à 110 kilomètres du but que Tronet à réussit à éviter d’extrême justesse alors que des coureurs comme Phinney (Cannondale), Thomas (AdT), Breschel (Astana), Sepulveda (Movistar), Eiking (Fdj) ou El Fares (Fdj) tombaient parmi tant d’autres.

Giraud (Cofidis) réalise ensuite un tour de force en les ramenant à lui seul sur le peloton disparate alors qu’au même instant, Niyonshuti prends difficilement les point du grimpeur à 76 kilomètres, après avoir bataillé ferme sur un faux-plat montant plutôt qu’une montée…Sinner se fait lâcher sous le rythme imprimé à 38 kilomètres du but, et se fait avaler à 28 kilomètres par Quemeneur (Adt) tandis que Niyonshuti et Seigle, malgré leur poursuite acharnée vers la ligne, se font reprendre à 12 kilomètres par Chetout (Cofidis). Les meilleurs sprinters de l’épreuve se font cependant piéger une nouvelle fois à l’issue du final qui voit Lecroq lever les bras et s’emparer de la tunique de leader en ayant dominé Adrien Petit dans les derniers hectomètres.

Etape 3 – Chrono individuel Plat – 28,2 km

Après avoir mangé de bons petits cassoulets la veille au soir, l’équipe se sent en excellente forme, sans pour autant avoir pris de substances illicites, impossible n’est pas français comme on dirait, le plein de force est fait ! Seul Phinney part en réel favori, peu de spécialistes présent, comme en témoigne la prise de pouvoir de Niyonshuti (42’47’’), Jakin (Hp-Btp) (42’44’’) et Burgaudeau (Direct Energie) (42’37’’) l’un après l’autre, principalement par le biais de la montée du deuxième intermédiaire qui vient biaiser les résultats des « purs » rouleurs. Ishibashi vient réaliser une performance similaire à celle de Burgaudeau. Peu de performances à noter pendant un certain moment avant que Paillot ne vienne écraser la concurrence en terminant en 41’01’’ ! Tout les coureurs relégués au-delà de la minute, seuls Kadri (Delko) et Erviti (Movistar) viennent terminer sous la minute avant que Phinney ne passe le premier inter avec déjà une dizaine de secondes d’avance…qui lui seront suffisante puisqu’il accroitra même son avance au terme de l’étape, terminant en 19’’ de mieux que le français, seul sous les 41 minutes. Sepulveda, profitant de la montée, vient terminer à une honorable 3ème place provisoire à 26’’ de l’américain, Delaplace (Ag2r) finissant dans le même temps, tandis qu’Ivo Costa (Ag2r), jeune néo-pro, vient claquer une grosse performance, 2e à 11’’ !

Carapaz perds lui gros a près de 2 minutes tandis que Diaz ou Jeannesson concèdent à peine 40 secondes pour la Fortunéo. Eiking, 4e à 21’’, observe ensuite son classement reculer face à l’homogène Astana : Rossetto prends le leadership en 39’46’’, Cattaneo seulement 1’’ derrière tandis que Kozhatayev réalise également un énorme chrono au vu de son profil, 3e à 49’’, seul Carthy se calant ensuite à 1’07’’. C’était cependant sans compter sur le grand favori de l’épreuve, car si Gaudu termine 4e à 55’’ et Chernectkii à 13’’, renforçant la performance globale de son équipe, Bardet vient écraser l’ensemble des points disséminés tout au long du parcours ainsi que la densité Astana en mettant 30’’ dans les dents à son plus proche poursuivant ! Si même le chrono ne lui résiste pas, comment s’en sortir pour la concurrence ? Boulo réalise lui un beau chrono, 8e à 1’33’’, ce qui lui assure un top 10 provisoire.

Etape 4 – Montagne – 182,1 km

Seule étape de montagne de la Route du Sud, et première véritable étape de haute-montagne pour l’équipe, le mythique Tourmalet sera à ingurgiter en entrée avant le puissant enchainement Bordères-Couraduque ! S’élançant de Saint Gaudens, le peloton voit rapidement l’échappée se former –les pauvres fous !- avec évidemment Niyonshuti ! Chetout (Cofidis), Erviti, Ladagnous (Fdj), Combaud (Delko), Jakin et Almari sont ses compagnons pour la journée, à la fois refroidis par le monstre à gravir, mais excité de même par cette perspective faisant brûler la prunelle de leurs yeux. L’ascension ne sera cependant pas à avaler pour Boudat et Orceau à l’issue d’une chute dès les premiers kilomètres, chute qui aura également prise Lecroq, Vachon et Bennati (Movistar) avec elle.

Chetout assume son statut au Col de Coupe tandis que Combaud remet ensuite les pendules à l’heure dans le Cournet d’Asque, Niyonshuti empochant tout de même quelques points au passage, Amari déjà en difficulté. De 7’40’’, l’avance passe à 3’50’’ aux abords du Tourmalet, et le montre vient prendre l’algérien en premier, puis Jakin, Chetout et Erviti un à un tandis que l’écrémage commence également à se produire plus bas sur la pente dans le peloton, avec un groupe de 48 à 4,5 kilomètres du sommet, seul Boulo encore présent…Niyonshuti s’avoue vaincu à 3 kilomètres de son but, mais n’abdique pas pour autant tandis que Combaud se débarrasse facilement de Ladagnous et vient inscrire son nom au sommet d’un des cols les plus prestigieux des Alpes, sans cependant prendre sa tunique à notre rwandais, 3e au sommet. Dans le peloton, les outsiders commencent à se garer de partout : Costa (Ag2r), Sepulveda, Moreno (Movistar) sont ainsi lâchés tandis que Chetout est repris au sommet, désormais à 4’33’’ de l’homme de tête, Pacher (Fortunéo) et Gaudu fermant la marche du groupe de 21.

Si Ladagnous vient recoller dans la descente, Niyonshuti décide de se relever pour venir appuyer Boulo, et si le groupe temporise avant d’entamer Bordères, les hommes revenus de l’arrière tel Sepulveda ne tardent pas à craquer –tout comme Niyonshuti d’ailleurs-tandis que les hommes de tête sont repris bien vite. Plus que Couraduque et Bordères en vue lorsque l’impensable se produit dans un replat : Bagot & Chetout, Gouault (Hp-Btp), Vimpère (Roubaix), Tronet (AdT), Diaz & Ledanois & Pacher & Jeannesson, Boulo, Carthy mais surtout Bardet sont impliqués dans une violente chute provoquée par la fatigue !

Les Astana, toujours représentée par ses 4 coureurs (Chernetckii-Kazhatayev-Cattaneo-Rossetto) en profite d’ailleurs pour hausser le rythme, en entrainant Gaudu, Hamilton, El Fares et Eiking ! Toudal (Cofidis), Erviti et Carapaz se mettent dans leurs roues après avoir été gênés par la chute tandis que Ledanois (Fortunéo) vient attendre ses leaders. Conséquences dramatiques puisque Sepulveda vient se perdre la tête la première dans le tas de cyclistes et abandonne après une fracture…Bardet se relance très vite et entraine Carthy et Jeannesson avec lui tandis qu’El Fares et Pacher sont distancés rapidement, et les trois réussissent à raccrocher le bon wagon au moment où Toudal craque et où Combaud porte une attaque, Gaudu dans sa roue, Boulo pointé ) 1’46’’…Le jeune français de la Fdj dépose facilement son compagnon, et Bardet ne se met pas – ou ne peut pas- à réagir ! Il s’envole et dispose d’1’34’’ au sommet des Bordères, permettant de contrer l’initiative de Combaud et donc à Niyonshuti de conserver sa tunique ! Gaudu accroit son avance à 2’18’’ au pied de Couraduque tandis que Combaud se fait finalement reprendre suite à l’attaque de Jeannesson, Eiking dans sa roue, Bardet et Carthy gênés.

Boulo à lui repris Toudal mais il ne fera rien de plus…Eiking s’effondre mais Rossetto vient chasser le Fortunéo et ramène le groupe avant que Carthy ne contre, suivi par Bardet puis tous : encore 1’40’’ pour Gaudu aux 2 kilomètres, le français y croit ferme, mais Bardet vient poser une accélération très violente à 1,4 kilomètres de la ligne qui fait exploser tout le monde, y compris les 4 Astana, d’un coup…Bardet revient comme une balle sur Gaudu, commence à le déposer, mais se fait finalement déborder dans le sprint final, Hamilton venant compléter le podium en se défaisant de Carthy. Boulo en termine seulement 15e à plus de 8’, une désillusion…

Etape 5 – Vallons – 121,3 km

Niyonshuti repart pour une 4ème fois en 5 jours pour affirmer définitivement son emprise sur la maillot à pois, avant d’être rejoint par Quemeneur, Pichot (Delko) et surtout Pacher, tout comme Gouault et Grellier en contre. Niyonshuti assure le strict minimum en venant prendre les 2 premiers grimpeurs, mais l’écart n’a cependant pas beaucoup augmenté, seulement de 2’ sous l’impulsion de Strambopoulos et de la Cannondale, en sus de Movistar et Astana. La route peu large combiné au rythme très élevé depuis le début de l’étape aboutissent aux premiers lâchés dès l’entrée sur le circuit final, notamment Vimpère (Roubaix – 16e), qui se promenait inconsciemment à l’arrière ! Mais cela provoque également une chute massive au milieu du groupe, Abe, Petit, Moreno, Tronet, Gesbert, Bagot, Ledanois, Thomas, Toudal et Alaphilippe pied à terre, alors qu’il ne reste plus que 37 kilomètres à venir. Devant, c’est Pichot qui laisse ses compagnons s’en aller à 26 kilomètres, l’écart faible mais jamais redescendu en dessous des 2 minutes ! Grellier vient porter ensuite une attaque fulgurante dans l’avant dernière ascension de la bosse, à 13 kilomètres de la ligne, une attaque décisive qui a raison de Niyonshuti, tout en prenant une trentaine de secondes. L’écart se creuse, 3’33’’ sur le peloton et 45’’ sur le duo Gouault/Pacher qui à lâché Quemeneur, et c’est donc avec une minute d’avance que Grellier se présente sur la ligne et vient signer une magnifique victoire en solitaire devant Pacher qui règle Gouault. Kuroeda et Boulo viennent régler le sprint des favoris pour des clopinettes, concluant une semaine somme toute décevante, sans aucun podium, un seul top 10, mais le maillot à pois toutefois dans l’équipe !

20 Mai 2018, 04h51

De belles espérances nous tendaient les bras après le chrono administré au coureur, mais si la flamme de l’espoir vacillait encore dans les pupilles de myriades colorées, la chute dans les Bordères eu raison de notre leader, éteint le soir même, tandis que l’équipe préférait se réjouir du maillot à pois durement acquis. Si cela ne constitue que partie remise, car l’équipe à bien l’intention de revenir, la tâche n’en sera que plus dire pour combattre les démons apparus sur cette course. Une Porte en présence ?

[SebZé]

Ça peut être décevant de ne pas accrocher mieux ici mais la Bridgestone montre qu'elle a sa place parmi ces équipes, il faut retenir ça. Les faits de course, ça va, ça vient.

[Coxo]

Classement du meilleur grimpeur et quelques top 10 sur les étapes c'est déjà très bien

[Orodreth]

C'est quoi ce jeu où Gaudu et Bardet sont bons en CLM.

[Bad_Neos]

Ça peut être décevant de ne pas accrocher mieux ici mais la Bridgestone montre qu'elle a sa place parmi ces équipes, il faut retenir ça. Les faits de course, ça va, ça vient.

Ouais mais j'ai quand même bien la rage car je pense que j'avais le top 10 au général dans les jambes

Classement du meilleur grimpeur et quelques top 10 sur les étapes c'est déjà très bien

Faut bien assurer quelque part quand même

C'est quoi ce jeu où Gaudu et Bardet sont bons en CLM.

Le jeu où il y a une petite côte qui fait se relever tout les rouleurs; D'ailleurs c'est pareil pour l'ITT France

On commence les championnats nationaux demain !

[Coxo]

Classement du meilleur grimpeur et quelques top 10 sur les étapes c'est déjà très bien

Faut bien assurer quelque part quand même

Rappelles-toi de la première course

[Bad_Neos]

Classement du meilleur grimpeur et quelques top 10 sur les étapes c'est déjà très bien

Faut bien assurer quelque part quand même

Rappelles-toi de la première course

On avais pas eu le maillot

Bon apparemment ça se décide plus vers une présentation des coureurs, bien que j'ai du mal à savoir si ceux qui votent les réponses 3 & 4 me font une blague où si c'est similaire à la 2 Si c'est ça, je peux commencer dès cette semaine

[Coxo]

Classement du meilleur grimpeur et quelques top 10 sur les étapes c'est déjà très bien

Faut bien assurer quelque part quand même

Rappelles-toi de la première course

On avais pas eu le maillot

Toute première course...
Yavait rien du tout d'assuré
(même pas un top 10 d'étape )
Là c'est abusé la progression en 2 ans

[Bad_Neos]

Championnats de France ITT – Plaine Vallonnée 49 kilomètres – 24 Juin

On se souvient l’année dernière, Latour avait déjoué tout les pronostics, ainsi que la plupart des grimpeurs & puncheurs du peloton français, face à des rouleurs se cassant les deux sur les deux petites bosses du parcours aux alentours de Lannilis…et cette édition commence à prendre le même chemin, Bardet, Pinot, Latour, Calmejane et Alaphilippe aux avant-postes…Qui sera champion de France pour succéder au drômois ? De notre côté, Turgis est mis au repos pour préparer les courses de fin de saison et ne participera qu’à la course en ligne, mais Boulo visera tout de même le top 15, pourquoi pas même un top 10 grâce au travail de repérage qu’effectuera Monier !

L’équipe doit attendre un moment pour commencer ne serait ce qu’à s’élancer puisque les grosses équipes françaises trustent les places de participation face à nos 2 coureurs, tant et si bien qu’Ag2r et Fdj viennent déjà poser les jalons de leur bagarre ! Des hommes comme Sinner (Hp-Btp), Turgot (Delko) ou A. Turgis (Cofidis) sont rapidement déposés après avoir réalisés les premiers temps intermédiaires…surtout quand on voit Jeannesson (Fortunéo) puis Geniez (Ag2r) et Pinot (Fdj), le 2e de l'an dernier, s’élancer très tôt ! Turgis arrive en 1h10’48’’ et réussit à devancer Jeannesson d’une demi-minute après une bonne fin de parcours, mais Pinot vient exploser le compteur en finissant plus de 2’ devant : nouveau temps de référence en 1h08’45’’, un gros coup est frappé, Geniez repoussé à 47’’. Il faut ensuite attendre un moment avant de voir arriver Gaudu, 3e à 1’45’’ dans la roue d’Hardy (Fortunéo) et Lemoine (Cofidis) rattrapés pour approcher la marque…et c’est déjà au tour des outsiders de partir, notamment Boulo qui s’élance lorsque Cornu (Direct Energie) passé 3e à l’intermédiaire d’Essernay, Gautier (Cofidis), Démare (Fdj) et Calmejane (Ag2r) s’étant élancé peu avant. Cornu en termine finalement 6e provisoire à 2’48’’ mais limite la casse comparé à un Delaplace (Ag2r) ou Démare, à plus de 3’. Gautier vient chiper la 3e en 1’39’’, Calmejane 5e à 1’48’’, dernier indicateur pour ses leaders. Di Gregorio (Coldeportes) refait parler un peu de lui pendant quelques minutes, 8e à 2’47’’, avant de se faire dépasser par Boulo pour 23’’ (7e), après avoir commencé doucement (51e aux Belles Baraques). Guillaume Martin prends la 9e place en 2’37’’ avant de se faire recaler par Gallopin, 8’’ de mieux. Pendant ce temps, Bardet vient démonter le chrono de Pinot ! Le leader de la Ag2r lui inflige plus d’une minute de débours, terminant en 1h07’44’’ (soit à 3’’ du record de l’année précédente !). Barguil (DiData) vient prendre la seconde place à 41’’ avant de se faire déborder par Alaphilippe (QuickStep) pour 10’’, et par Latour, qui vient conclure sur un doublé Ag2r, cédant sa couronne pour 15’’ ! Le bilan est satisfaisant pour l’équipe, Monier 40e à 4’31’’ et Boulo 13e à 3’25’’ sur les 113 coureurs engagés.

Championnats du Venezuela ITT – Montagne – 12,5 kilomètres – 24 Juin

Peu de coureurs au départ, ils ne sont que 9, soit moins que le total des doigts de deux mains à l'assaut de ce montagneux chrono individuel entre Rio Charma et Lagunillas. Si Becerra Alarcon (Bicicletas Strongman), Mendoza (Qinghai), Torres (Kuwait), Ducournau (Wilier) et Terente (Israel Cycling Academy) sont là pour faire de la figuration, Godoy (Wilier) et Gimenez (Voster) seront les deux jokers à surveiller pour Mora et Monsalve.

Ducournau est le premier à s’élancer, mais Monsalve le dépose bien rapidement, après seulement 5 kilomètres parcourus. D’ailleurs, les coureurs sont tellement peu nombreux que tous sont largués sur la route alors qu’aucun n’est encore arrivé au sommet ! Monsalve en termine bien vite…25’37’’ ! Gimenez arrive à son tour, mais il finit à 40’’, et Godoy juste après lui vient prendre 4’’ de plus, tous les autres ayant pris un éclat, plus de 3’. Le titre est assuré, mais Mora vient enfoncer le pilon et prends la première marche du podium, repoussant Monsalve à 26’’. Le doublé pour l’équipe, il ne reste qu’à assurer de la même manière sur la course en ligne !

Champion d'Australie : Cameron Meyer (Orica-Scott)
Champion de Nouvelle Zélande : Patrick Bevin (Cannondale)
Champion d'Afrique du Sud : Mudada Chigumbura (Dimension Data)
Champion de Colombie : Rigoberto Uran (Sky)
Champion de Slovénie : Primoz Roglic (Movistar)
Champion d'Ukraine : Anatoly Startsev (Development Sunweb)
Champion de Suisse : Stefan Küng (BMC)
Champion d'Espagne : Ion Izagirre (Bahrain Merida)
Champion d'Italie : Damiano Caruso (BMC)
Champion des Pays-Bas : Wout Poels (Sky)
Champion des Etats-Unis : Chad Haga (BMC)
Champion du Portugal : Nelson Oliveira (Orica-Scott)
Champion de Russie : Ilnur Zakarin (Katusha Alpecin)
Champion de France : Romain Bardet (Ag2r)
Champion de Belgique : Victor Campenaerts (LottoNL Jumbo)
Champion d'Allemagne : Marcel Kittel (QuickStep Floors)
Champion du Danemark : Christian Rasmus Quaade (AquaBlue Sport)
Champion de République Tchèque : Jan Barta (Movistar)
Champion de Pologne : Rafal Majka (Sky)
Champion de Grande-Bretagne : Geraint Thomas (Sky)
Champion de Norvège : Andreas Skjaelo Jacobsen (FixIT)
Champion d'Autriche : Marco Haller (Katusha Alpecin)
Champion d'Irlande : Daniel Martin (QuickStep Floors)
Champion de Slovaquie : Eduard Mentel (Rally Cycling)
Champion de Lettonie : Guntis Blagonadezhdin (Hp-Btp Auber 93)
Champion d'Estonie : Tanel Kangert (Lotto-Soudal)
Champion d'Erythrée : Meron Teshome (Bike Aid)
Champion de Bolivie : Freddy Gonzalez (Equipo Bolivia) (4 premiers...sur 4 !)
Champion d'Argentine : Josue Moyano (Trek Segafredo)
Champion de Croatie : Kristijan Durasek (Uae Emirates)
Champion du Venezuela : Luis Mora (Bridgestone Anchor)
Champion du Canada : Hugo Houle (Team Illuminate)
Champion de Corée du Sud : Jae Yeon Im (Korail)

[maxteam]

Dommage qu'il n'y est pas les ITT du Japon, Malaisie et du Rwanda.... J’espère qu'ils seront la pour la course en ligne.

Caruse n'a pas d'équipe ?

Sympa le championnat de Bolivie

[Bad_Neos]

Dommage qu'il n'y est pas les ITT du Japon, Malaisie et du Rwanda.... J’espère qu'ils seront la pour la course en ligne.

Caruse n'a pas d'équipe ?

Sympa le championnat de Bolivie

Oui dommage les ITT Japon (au moins Nishizono a toujours le maillot du coup ), les courses Japon et Vénézuela sont bien présente, d'ailleurs ça va être violents les écarts au Vénézuela car c'est un parcours du championnat du monde vu le profil !

Merci je corrige Caruso et Quaade !

Il ne doit y a voir que 4 boliviens dans la Db, tous dans la même équipe, alors forcément

[Bad_Neos]

Championnats de France de Cyclisme sur Route – Plaine – 250,9 km

Démare et Bouhanni sont les grands favoris de l’épreuve, mais reste encore à voir si le leader de la Fdj n’est pas encore traumatisé de sa chute de l’an dernier, où si d’autres coureurs ne profiteront pas de la rivalité animant les deux ex-coéquipiers, à l’image d’Adrien Petit, de Rudy Barbier ou encore de Christophe Laporte ! Le parcours est en tout cas taillé pour le sprint, quasiment plat, les pourcentages n’excédant jamais les 5%...L’équipe espère faire de son mieux, mais ni Turgis ni Boulo ne disposent de la pointe de vitesse suffisante pour espérer le sacre, ne parlons même pas de Monier !

Quoiqu’il en soit, le maillot se montre grâce à Boulo qui lance l’échappée française de ces championnats au bout de seulement quelques mètres. Planet (Novo Nordisk), Vaubourzeix (Inteja), Courteille (Nice), Loubet (AdT) et Edet (Postbank) le suivent à distance avant de le reprendre, mais Simon (Cofidis), puis El Fares (Fdj) viennent directement contrôler le peloton, et avec l’aide que leur apportent la Direct Energie et l’Ag2r, l’écart ne parvient pas à décoller ! Le mano à mano dure une cinquantaine de kilomètres avant que les échappés n’abdiquent…ce qui n’empêche pas Boulo de repartir à l’attaque pour effectuer sa tâche, bourreau de travail qu’il est. Cette fois, Blain (Ccc), Lemarchand (Delko), Cam (Inteja) et Guérin (Beobank) le suive, et les 5 hommes peuvent s’éloigner grâce à la bénédiction du peloton, ne voyant pas là un quelconque danger.

Chaque coureur est déjà bien entamé après avoir parcouru tambour battant la première heure de course, pimentée par des rafales de vents, et ce dans le laps de temps suivant la poursuite. Le reste de la journée se poursuit de manière tranquille, comme un fleuve, à tel point que le jeu devient presque lassant et ennuyant, sans toutefois avoir un peloton laxiste qui n’aura jamais laissé plus de 5 minutes à la tête de course. Vimpère (Roubaix) vient secouer la bête endormie en passant à l’offensive à 45 kilomètres de l’arrivée, l’échappée revenue dans le giron des 2 minutes…mais alors qu’il était en passe de rentrer sur le devant de course, il tombe en fringale à 32 kilomètres et se fait reprendre 5 kilomètres plus loin, un coup d’épée dans l’eau…

Il en est cependant de même pour l’échappée qui se fait finalement reprendre à 7,5km du but, Boulo se muant en parfait équipier pour permettre à Turgis de se replacer. Dans l’emballage final, Cardis vient surprendre son monde en effectuant un travail colossal de poisson-pilote pour lancer Adrien Petit qui récompense le travail de son équipier en devenant champion de France devant rien de moins que Démare, Barbier et Bouhanni ! Turgis vient régler un peloton relégué à presque des années-lumière…Boulo vient chercher la 15e malgré son échappée, Monier complétant le bon bilan général, 28e !

Championnats du Japon de Cyclisme sur Route – Plaine – 103,3 km

L’équipe est bien décidée à récupérer le titre perdu l’année dernière au profit de la Ukyo et de Yusuke Hatanaka, et aligne pour cela ses meilleurs éléments : Abe, Kuroeda, Komori, Ishibashi, et sa bête à rouler Arashiro. Face à elle, peu de concurrence devant le phagocytage réalisé lors de l’intersaison, on peut seulement rajouter Kuboki (Fortunéo) et Hirai (Ukyo) à surveiller en sus du tenant du titre, Yukiya Arashiro pouvant venir joue les trouble-fêtes en dehors du final…

Effectif Bridgestone : Yudai Arashiro, Takayuki Abe, Ryo Chikatani, Sho Hatsuyama, Manabu Ishibashi, Ryohei Komori, Shiki Kuroeda, Ryota Nishizono

Nakata (Interpro), Harada (Aisan) et Tokuda (Ukyo) sont les premiers à vouloir s’extirper de la masse, mais Ito (Nippo) vient rouler toutes turbines ouvertes pour les recadrer dans le rang, les reprenant en quelques kilomètres grâce au faux plat dans lequel ses capacités s’expriment bien mieux. Nouvelle estocade au niveau de la bascule avec Tokuda, Ryutaro (Aisan) et Kaneko (7 Eleven), Ito ne laisse toujours personne partir et reprends rapidement les attaquants…Hayama (Aisan) puis Hanada (Aisan) ou encore Nakata et Kaneko retentent leur chances vers le bas de la descente mais la Nippo vient briser toutes leurs offensive ! Hirai, Okamoto (Aisan), Nakane (Nippo), Yamamura (Vorarlberg) et Arashiro (Bahrain) réussissent finalement à partir grâce à un accord tacite, mais la Bridgestone, bien discrète jusque là, vient prendre les opérations en main après s’être offert un petit ravitaillement bienvenu !

Les hommes de tête sont avalés goulûment en à peine 5 kilomètres, et plus une seule sortie ne sera tolérée par les tokyoïte qui viennent briser net les offensives désespérées du coureur de la Bahrain. Le final approche à grand pas, le train est rôdé et effectue parfaitement son mode opératoire pour mettre sur orbite Kuroeda et lui offre le titre, et encore mieux, le doublé !

Championnats du Venezuela de Cyclisme sur Route – Vallons – 220,1 km

A n’en pas douter le circuit le plus alléchant, tant en terme de distance qu’en terme de dénivelé, qui s’opère dans les alentours biscornus de la localité de Lagunillas, seul le plateau manquant à l’appel puisque on retrouve les même 9 coureurs qui opéraient déjà lors du contre-la-montre. Un titre en poche, on compte bien conserver le titre acquis par Monsalve l’année dernière, pas le droit à l’erreur !

L’estocade est portée dès le départ…qui s’opère en montée ! Une double offensive réglée au millimètre par les 2 coureurs de la Bridgestone, et qui se voit déjà fatale à Becerra Alarcon, qui prends une option pour passer la journée isolé tout au long d’une tranquille promenade. Torres, Ducournau et Mendoza suivent allégrement son chemin dès le pied du deuxième tour de circuit, seul Terente essayant de suivre le rythme développé par Gimenez et Godoy pour tenter de rattraper le duo parti devant.

Il craque cependant peu de temps après, juste avant que la jonction ne s’opère entre les 4 meilleurs dans la descente suivante. Plusieurs attaques concertées sont bien menées pour les déstabiliser après avoir fourni un gros effort pour revenir et qui les aura déjà laissé à la limite de la lucidité, mais elles ne portent pas leur fruit, apportant un statuquo respecté pendant une bonne centaine de kilomètres. Cette trêve prends fin lorsque Godoy tente de surprendre son monde en attaquant à 93 kilomètres du but, mais il se fait reprendre très rapidement par le train imposé par Mora et qui permet à Monsalve de porter un contre fulgurant qu’aucun des trois autre ne peut suivre…avant que Mora ne rejoigne son leader en voyant les difficultés que montrent ses deux compatriotes à passer les pourcentages flirtant avec les 10%. Jonction en tête avec 1 minutes d’avance sur l’autre duo, l’avantage tourne finalement à notre avantage après un combat à distance d’une soixantaine de kilomètres, et voit Monsalve prendre le large avec 2 minutes d’avance à 22 kilomètres de l’arrivé, Mora pris en flagrant délit de défaillance.

Il est d’ailleurs repris par le duo de contre à 16 kilomètres de l’arrivée…au moment où Gimenez craque à son tour, lui garantissant également une place sur le podium, puisque Godoy les laisse sur place avant de s’avouer vaincu à 13 kilomètres de l’arrivée. Ayant parfaitement dosé son effort, Monsalve n’a même plus besoin de se fatiguer et vient tuer le suspens en mettant plus de 10 minutes à son principal poursuivant au moment de franchir la ligne !

Champion d'Australie : Michael Matthews (Postbank)
Champion de Nouvelle-Zélande : Tom Davison (Bridgestone Anchor)
Champion d'Afrique du Sud : Louis Meintjes (Uae Emirates)
Champion de Colombie : Rigoberto Uran (Sky) Doublé
Champion du Canada : Rob Britton (Rally)
Champion des Etats-Unis : Tejay Van Garderen (BMC)
Champion de Russie : Alexander Porsev (Gazprom)
Champion du Portugal : Sergio Paulinho (Uae Emirates)
Champion d'Ukraine : Sergiy Lagkuti (Kolss-BDC)
Champion d'Espagne : Eduard Prades (Caja Rural)
Champion d'Italie : Alberto Bettiol (Cannondale)
Champion des Pays-Bas : Sam Oomen (Postbank)
Champion d'Allemagne : Marcel Kittel (QuickStep Floors) Doublé
Champion de Slovénie : Simon Spilak (Bora Hansgrohe)
Champion du Danemark : Jakob Fuglsang (Astana)
Champion de Suisse : Michael Schär (Cannondale)
Champion de République Tchèque : Zdenek Stybar (Orica Scott)
Champion de France : Adrien Petit (Direct Energie)
Champion de Belgique : Bert Van Lerberghe (Lotto Soudal)
Champion du Kazakhstan : Alexey Lutsenko (Astana)
Champion du Japon : Shiki Kuroeda (Bridgestone Anchor)
Champion du Chili : Nakor Irazusta (BMC U23)
Champion de Chine : Chun Kai Feng (Bahrain)
Champion d'Erythrée : Natnael Berhane (Dimension Data)
Champion d'Uruguay : Fabricio Ferrari (Caja Rural)
Champion des Emirats Arabe Unis : Yousef Mirza (Uae Emirates)
Champion de Bolivie : Freddy Gonzalez (Equipo Bolivia) Doublé
Champion d'Argentine : Igancio Perez (Sindicato Empleados Publicos of San Juan)
Champion de Croatie : Kristijan Durasek (Uae Emirates) Doublé
Champion du Venezuela : Yonathan Monsalve (Bridgestone Anchor)
Champion de Pologne : Wojcieh Sukala (Wibatech)
Champion de Grande-Bretagne : Mark Cavendish (Dimension Data)
Champion de Norvège : Kristoffer Halvorsen (Joker Icopal)
Champion d'Autriche : Gregor Mühlberger (Amplatz-BMC)
Champion d'Irlande : Daniel Martin (QuickStep Floors) Doublé
Champion de Slovaquie : Peter Sagan (Dimension Data)
Champion de Lettonie : Toms Skujins (Cannondale)
Champion d'Estonie : Mihkel Raïm (Israel Cycling Academy)
Champion de Corée du Sud : Keon Woo Park (Lx)

[Wings]

Et 1, et 2, et 3 CNs ! Bien joué
Par contre tu as mis le drapeau du Niger pour les Pays-Bas

[Coxo]

Plein de Maillots

[Bad_Neos]

Et 1, et 2, et 3 CNs ! Bien joué
Par contre tu as mis le drapeau du Niger pour les Pays-Bas

Merci Tu ne savais pas que Sam Oomen avait des origines nigérianes ?

Plein de Maillots

La razzia comme moi à la Fnac quand je vais acheter des livres

Première partie du Tour d'Autriche ce week-end, tenant du titre : Zoidl, mais la concurrence sera présente !