Modérateur: Animateurs labo à parcours
Bad_Neos a écrit:Lucas04100 a écrit:Warren Barguil a écrit:Igbur a écrit:Warren Barguil a écrit:Warren Barguil a écrit:Salut, j'ai une étape de 249 kilomètres tracée sur La Flamme Rouge, mais quand je l'exporte sur Cronoescalada, ça me met que la taille du gpx est trop grande, alors que pour mes étapes de 180/200 kilomètres ça passe. Une solution svp ?
Je fais comment du coup, je présente un profil la flamme rouge ?
Je ne sais pas ça ne m'est jamais arrivé. Réessaye et sinon tant pis fait un profil LFR. Et tu peux toujours faire un profil crono du final en plus.
J'ai essayé de partir 20 kilomètres plus loin, mais l'étape ne s'exporte pas même si elle fait plus que 220 kilomètres
Sinon Wings, tu m'autorises à présenter un profil où on voit pas les 50 premiers kilomètres (ils sont tout plats) ?
EDIT : C'est bon c'est résolu
Comment tu as fait pour le résoudre car ça me le fait sur une étape de 160 bornes
Pareil, les étapes 230 kms ça veut pas et même si j'aime assez les profils Giro LFR, faut avouer qu'ils sont pas du tout précis
Klira a écrit:Comment ça qu'on interdise le Crostis ??!!
Aram a écrit:Klira a écrit:Comment ça qu'on interdise le Crostis ??!!
Ben pour moi le Crostis c'est injouable c'est hyper étroit et hyper dangereux, mais que le Giro ait juste envisagé d'y passer prouve que les critères ne sont pas les mêmes que sur le TDF. Il est sur ton parcours c'est ça ?
Tilo a écrit:Tu as quel âge?
jibvalverde a écrit:https://legruppetto.com/forum/viewtopic.php?p=1307541#p1307541
Présentation updatée avec les 3300km et les 2 sprints obligatoires ! Bon concours à tous ... et votez pour moi ^^
Malo.tls a écrit:En traçant mon étape vers Chianale, j'ai vu ce profil de montée
Est ce que ça s'enchainerait pas parfaitement avec le Sampeyre
Pour ce Grand Départ phocéen, la fête commencera sur le Vieux Port, où aura lieu le départ fictif avant un départ réel dans le quartier de l'Estaque, dans le nord de la ville. Cette première étape fait le tour de la métropole d'Aix-Marseille et passe par les grandes villes de cette dernières : Martigues, Istres, Aix-en-Provence. Le tracé est plutôt plat, notamment en première partie, longeant l'étang de Berre et la plaine de la Crau. Mais la présence de trois montées catégorisées (notamment le Petit Galibier, emprunté lors du GP La Marseillaise) dans la deuxième moitié ne rend pas pour autant évident le sprint massif et la poursuite des échappées. La dernière descente lente vers le Prado pourrait toutefois être fatal aux baroudeurs.
On enchaîne avec la plus longue étape de ce Giro. Sans doute 6 heures de selle pour un trajet pas tout plat. Le long de la côte d'Azur, les coureurs enchaîneront les passages en bord de mer et ceux plus à l'intérieur des terres, comme dans le massif des Maures. Les organismes seront usés et la course devrait être plus ouvert en direction de la cité-Etat sans culture (/bullo). A 3 semaines du Grand Prix, les coureurs concluront leur épopée par le circuit urbain.
La course de la veille longeait la mer, cette fois-ci, on va s'enfoncer dans les terres. Depuis le Rocher, on rend une dernière fois hommage à la région PACA en montant la côte Ricard. Mais c'est une fois la frontière italienne franchie (frontière que nous ne traverserons plus) que les choses sérieuses commencent. Dans les Alpes ligures, un echainement de trois montées basses mais ardues pourrait déjà bien lessiver le peloton usé de la veille. La particularité de cette étape (outre sa relative faible longueur) est le long faux-plat descendant qui succède au Col di Nava. Les 22 derniers kilomètres à même pas 2 % de moyenne désavantagera une tentative en solitaire mais pourrait permettre à un groupe qui s'entend bien de faire déjà de premiers bons écarts
Eh oui, une épreuve collective le lendemain d'une étape de montagne, c'est rare ! Après une étape où le placement aura été important dans la dernière étape, une où on sanctionne la fraîcheur de ces derniers, en espérant que les équipiers contrôlent justement moins en montagne histoire de se préserver pour cette échéance. Le long des montagnes, cette étape avec de bonnes lignes droites permettra aux grosses cuisses de se mettre en avant mais aussi de redessiner la hiérarchie entrevue la veille.
On n'avait pas encore eu d'étape où l'on pouvait s'assurer à 99 % d'un sprint massif. Ce sera enfin le cas aujourd'hui. Les coureurs serpenteront les collines du Pô afin de tomber sur la plaine du même nom. C'est plat du coté piémontais comme du côté lombard (malgré 30 derniers km avec une pente régulière de 0,3%!) avant une arrivée rectiligne sur la Viale Piemonte.
Les Alpes se font désirer. Plutôt que de rentrer franchement dans le massif, l'étape serpente dans le piémont lombard entre lacs et montagnes. Nous passerons dans plusieurs villes majeures de la région comme ou Bergame qui ont déjà accueilli l'arrivée de la classique des feuilles mortes. La course usante finissant par une côte et une arrivée montante devrait se jouer entre baroudeurs, grimpeurs et puncheurs.
On entre dans les « vraies » Alpes, mais les leaders ne devraient pas se découvrir aujourd'hui. En direction de la capitale du Sud-Tirol, ce sont les baroudeurs qui devraient s'en donner à cœur joie. Deux longs présentant toutefois pas de pourcentages terrifiants. Attention toutefois à la descente du Mendola qui pourrait voir des bons descendeurs essayer de piéger les autres favoris, puisque l'on arrive très vite sur Bolzane.
L'étape des Dolomites, enfin ! Puisque nous sommes dans la première quinzaine de mai, nous ne dépasserons pas les 2100m. Pour autant, ce sera une vraie étape de haute montagne. Après la très longue et difficile montée du Passo Manghen, les difficultés se succéderont rapidement bien qu'elles soient moins dures, ce qui restera une aubaine pour les baroudeurs-grimpeurs. La transition dans le val di Fassa est longue en direction de la cima Coppi, mais la descente amène rapidement vers la courte mais difficile montée du Pian di Pezze, station de la commune d'Allenghe.
On finit ce triptyque alpin par les Alpes juliennes. Depuis Toblach, le tracé suit pas mal la frontière autrichienne, empruntant les cols les plus au nord de cette région et contournant le Zoncolan. Une étape plus longue mais avec des côtes moins longues, sans pour autant être moins pentues. Le monstre de la journée qu'est le Cason di Lanza, composée de deux rampes frôlant les 10 % de moyenne, pourrait grâce à ses routes étroites de faire dynamiter la course.On sera certes à 40km de l'arrivée, mais la veille d'un jour de repos, pourquoi se priver ?
Pour la reprise, pas une étape piège, à moins que par piège, vous entendiez avec des petites côtes dans le début. Le passage dans les monts Euganéens devrait quand même aider la formation d'une échappée conséquente et de prendre du champ. Le reste de la course allant chercher le delta du Pô et le bord du mer permettra aux sprinteurs de se préparer pour l'arrivée sur une ligne droite de plusieurs kilomètres dans la capitale de la mosaïque.
Cette deuxième semaine se veut moins montagneuse mais plus piégeuse. On ne peut pas dire qu'une course de côte soit tellement piégeuse. Après un début le long de la mer, on s'enfonce lentement dans les Appennins en contournant la république de Saint-Marin. Les coureurs auront quelque côtes dans les jambes en commençant l'ascension finale mais on sera loin de l'usure qu'avait provoquée les 237 kilomètres de l'étape de 2009
En direction de la Toscane, il semblait difficile d'éviter les sterrato utilisés lors des Strade Bianche. Après une centaine de kilomètres assez tranquille, le #vraicyclisme commencera à 60km de l'arrivée. On se retrouvera alors sur un terrain plus vallonné avec pas moins de 25km de chemins empierrés. Il n'est pas dit que les écarts soient mirobolants entre les tous meilleurs, mais un leader avec un coup de moins bien pourrait y perdre pas mal, surtout en cas de mauvaises conditions météo. Pour la gagne, il faudra en finir avec un dernier kilomètre à 9 % pour arriver sur la place centrale de Montepulciano.
On reste à l'intérieur des terres et on s'enfonce de nouveau dans les Appenins. Mais pas pour une étape vraiment décisive. Usante et vallonnée , on peut imaginer que les baroudeurs soient à leur avantage en direction des Abbruzzes. Certains auront en tête l'étape de 2010 où les baroudeurs s'en étaient donnés à cœur joie et avaient chamboulé le classement général, permettant notamment à Porte et Arroyo de se replacer. L'arrivée se faisant au centre-ville en côte (1,7 km à 6,4%), on pourrait tout de même voir les leaders se batailler pour gagner quelques places ou secondes au général.
Une étape plus plane et longue pour rejoindre le bord de mer. Elle fera la part belle aux volcans puisque nous raserons en cours d'étape le volcan de Roccamonfina, l'étape se finira en passant à travers les Champs Phlégréens, zone de fumerolles et de sources chaudes arrivant d'arriver à Naples, capitale de la Campanie et renommé entre autres par le Vésuve. C'est pour cela que cette étape ne sera pas de tout repos pour les sprinteurs, avec un début et une fin plutôt accidentée. Il n'est pas dit que le sprint soit si massif...
Pour conclure la semaine, on repart une dernière fois en montagne. On ne montera pas très haut cette fois-ci mais la difficulté sera quand même présente. Après avoir contourné le Vésuve, les coureurs rejoindront lentement la péninsule de Sorrento en passant par l'intérieur des terres. On longera quelque temps la côte amalfitaine, ce qui plaira sans doute aux yeux des télé-spectateurs avant de commencer les réelles difficultés. Les leaders devraient se découvrir dans l'étroite et sinueux Monte Faito avant une descente irrégulière vers la ville qui donne le nom à la péninsule.
L'après-premier repos était calme, l'après-second repos est placé sous le signe du chantier. Cette deuxième étape la plus longue de ce Giro est aussi une de celles qui contient très peu de plat. Le départ en côte pourrait voir un leader digérant mal le repos être distancé, et dans ce cas-là, le débours à la fin de la journée sera très lourd. A partir de Rotonda, les vraies montées commenceront. Dans cette région méconnue entre Calabre et Basilicate, où l'on parle parfois plus albanais qu'italien, les écarts devraient être faciles à faire avant de descendre sur le bord de mer.
Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas eu un final aussi plat. Entre deux des principales villes de Calabre, les côtes seront quasi inexistantes. Dans une zone en plus avec peu de vent et avec un final en longue ligne droite, si les équipes de sprinteurs ne font pas les zouaves, on devrait voir dans la station de Catanzaro une arrivée massive.
Au bout de la « semelle du talon », en face de la Sicile, cette journée sera décisive pour les leaders. Si la longueur de l'étape n'est pas affolante, elle est déjà supérieure à la moyenne des CLM sur un Giro. Et surtout, à trois jours de l'arrivée, elle sanctionnera ceux qui récupèrent mal et pourra donner de nouveaux repères avant le triptyque sicilien. Entre deux stations balnéaires, le parcours sera globalement plat même si l'on a une légère montée dans la première montée avant de plonger sur Reggio Calabra, principale agglomération de la zone. Le début et la fin de cette étape en bord de mer devraient fournir de belles images pour les téléspectateurs.
La dernière étape de vraie montagne met pour une troisième année consécutive l'Etna en valeur. Au lieu de deux arrivées au sommet en 2017 et 2018, elle sera escaladée deux fois sur ses versants est et sud. Contrairement à 2011 où l'on faisait une transition par la plaine pour monter par le sud-ouest, on enchaîne directement les deux montées, la dernière constituant sans doute la plus difficile montée du volcan. Ce sera donc la dernière occasion pour les purs grimpeurs de se mettre en valeur bien que l'arrivée se fera en descente.
Cette avant-dernière étape sera également la dernière pour faire des écarts. Avec peu de phases vraiment planes, elle sera elle aussi très usante. Il est difficile d'imaginer que les leaders se découvriront très tôt. Mais dans la chaleur sicilienne de la fin mai, on pourrait connaître des ultimes défaillances et en décantant la course dès le Monte Lucca Sicula, il y a moyen de creuser de grands ultimes écarts. Le final permettra de mettre en valeur le port de la ville, premier port de pêche d'Italie et les monuments du centre-ville.
On voit le bout de ce Giro, enfin ! Cette année, on ne dérogera pas à la tendance majoritaire à finir sur un circuit dans une grande ville. Si le circuit à Palerme est tout plat et servira autant à départager les « gros culs » restants qu'à mettre en valeur les monuments, il y aura tout de même une transition non-aisée à aborder. La montée à mi-parcours pourrait faire des dégâts cumulés à la chaleur et les équipes de sprinteurs légers pourraient essayer d'en profiter pour éliminer, ou du moins émousser les plus lourds.
Tilo a écrit:Tiens question par exemple si y a un transfert en avion mais que la ligne n'existe pas IRL, le Giro a un dérogation?
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