Actualités des parcours

[Native]

La principale info de la semaine c'est la présentation de la nouvelle Route du Sud demain

En Matinée ou dans l'après-midi ? Hors de question de louper ça.

Le Port de Balès svp.

Fin de matinée (début à 11h).

Pas de Balès, mais de la #densité sur 4 jours

[Trifon_Ivanov]

Arrivée au Cap de Long mon Véver.

[Svam]

La principale info de la semaine c'est la présentation de la nouvelle Route du Sud demain

En Matinée ou dans l'après-midi ? Hors de question de louper ça.

Le Port de Balès svp.

Fin de matinée (début à 11h).

Pas de Balès, mais de la #densité sur 4 jours

Pas d'étapes de plaine dans le Tarn et le Gers ? Ou alors j'annonce un excès d'emphasize

[Julichbob]

Si l'étape de plaine le vendredi c'est Saint-Gaudens - Masseube

[Native]

La principale info de la semaine c'est la présentation de la nouvelle Route du Sud demain

En Matinée ou dans l'après-midi ? Hors de question de louper ça.

Le Port de Balès svp.

Fin de matinée (début à 11h).

Pas de Balès, mais de la #densité sur 4 jours

Pas d'étapes de plaine dans le Tarn et le Gers ? Ou alors j'annonce un excès d'emphasize

Densité ≠ "Les 4 jours du Pic du Midi" tracés par Klira avec un feat. de Spectromon

[Blontoine_Blandin]

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[Blontoine_Blandin]

Sérieusement comment ce mec peut être sélectionneur ?

Il raconte n'importe quoi H24

Gallopin dans Bistrot Vélo : il aurait aimé plus dur, ça reste favorable aux sprinteurs pour lui.

[Blontoine_Blandin]

Si l'étape de plaine le vendredi c'est Saint-Gaudens - Masseube

Avec le même ratio D+/km que Liège-Bastogne-Liège, c'est de la plaine

[Julichbob]

Si ils prennent les côtes du coin, l'année ou je peux pas y aller, je vais avoir les boules

[Bad_Neos]

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A noter quand même que cette première édition devait passer en Italie, en Autriche et en Slovénie. Bye bye la Slovénie, et l'Autriche quasiment snobée

[ab63]

Beau parcours pour l'Adriatica Ionica Race ! C'est tout de même dommage qu'il n'y ait pas de suspense pour le CG jusqu'au bout, il y avait moyen de faire un circuit largement plus dur dans Trieste

[Umb]

Cyrille Guimard : «Rien vu d'aussi dur depuis Sallanches»
Publié le mercredi 25 avril 2018 à 00:10

Cyrille Guimard, le sélectionneur tricolore, vient de reconnaître, en Autriche, le parcours du Mondial sur route 2018. Qui lui a rappelé celui de l'édition 1980 par son extrême difficulté.
Manuel Martinez

Vendredi dernier, à l'occasion de la dernière étape du Tour des Alpes, une épreuve remportée par Thibaut Pinot, les organisateurs avaient eu l'idée de faire découvrir au peloton une partie du circuit des prochains Championnats du monde sur route, qui auront lieu à Innsbruck du 22 au 30 septembre.

L'occasion était belle pour Cyrille Guimard, le sélectionneur de l'équipe de France, de sauter dans un avion direction l'Autriche afin de vérifier sur place «l'immense chantier» qui attendra les coureurs dans le Tyrol dans quelques mois. Embarqué à bord de la voiture de Stéphane Goubert, le directeur sportif d'AG2R La Mondiale, Guimard n'a pas regretté le déplacement.

«Une fois qu'on a vu ça, on a déjà une idée des coureurs qui seront susceptibles de passer, confiait-il. La sélection va se faire naturellement. C'est simplement une course de haute montagne, pour grimpeurs patentés. Et encore, on n'a pas découvert le dernier mur en situation de course !» Pour Guimard, ce Mondial, qui se disputera sur une distance de 258,5 kilomètres, avec 4 670 mètres de dénivelé positif, sera terrible, sans répit. Car sur le circuit final va se dresser la côte de l'Olympia Climb, au sommet de la station d'Igls , 7,9 kilomètres à 5,7 % de moyenne et des passages à 10 % qu'il faudra escalader à sept reprises.

«Il faudra avoir huit mecs à 100 %. Autrement, ce n'est pas la peine de venir»

Il faudra aussi se lancer dans une très longue descente à 11 % vers Innsbruck. «On descend à 90 km/h et sans temps de récupération», souligne Thibaut Pinot. Pour donner définitivement le vertige à ce Mondial, les organisateurs ont placé une terrible bosse, qu'il faudra passer seulement lors du dernier tour : le Gramartboden, une côte de 2,8 kilomètres à 11,5 % de moyenne et un passage à 28 %. «Je n'ai rien vu d'aussi dur depuis le Mondial de Sallanches, où seulement quatorze ou quinze coureurs avaient fini, estime Guimard. Il faudra avoir huit mecs à 100 %. Autrement, ce n'est pas la peine de venir.»

Guimard a déjà établi une présélection de dix-huit coureurs pour l'épreuve en ligne et huit pour le chrono, qui sera également d'une sévère exigence (52,5 km avec une côte de 4,9 km à 7,1 % de moyenne et un passage à 14 %). Pour l'heure, il a décidé d'attendre la fin du Tour pour entrer dans le vif du sujet et voir avec les managers d'équipe les programmes prévus pour leurs coureurs. «Pour jouer la gagne, il faudra être au maximum de sa forme et avec un état d'esprit irréprochable, dit le sélectionneur. Sur ce que j'ai vu, je ne sais pas si on peut sortir dix gars capables de gagner sur ce circuit. Au niveau de la préparation, il faudra être très pointu pour ne pas se rater. Et je vais avoir besoin de l'adhésion de tout le monde pour avoir une équipe de France performante.»

[grossbouff]

[Native]

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[Native]

Allez, puisque grossbouff est plus rapide que l'éclair, allons-y

1ère étape :

Stéphane Pouilhès – 32 ans, né à Albi
Vainqueur de la 1è étape de la Route du Sud 2012 à Albi

Pour moi, l’étape se jouera en deux parties. Un groupe de 10 ou 15, avec des leaders, peut donner une bonne chance aux échappées et piéger le peloton si les grosses équipes sont représentées, surtout sur un circuit très vallonné avec parfois des petites routes. Ca peut aussi être une arrivée au sprint car le final est propice au retour des équipes de sprinters dans la vallée de Monestiès. La réduction à 7 coureurs rend aussi la course incertaine : y aura-t-il une équipe qui va contrôler pour le général ? Pour un sprint massif ? La chaleur peut être déterminante également sur le plateau du Ségala et autour de Cap Découverte.

A noter que le sprint est en légère montée.

[Native]

2ème étape :





Promis, pas d'éxagération des difficultés Certes, on devrait avoir un sprint au bout, mais le parcours, notamment dans sa première moitié, est un véritable toboggan (près de 2400m de dénivelé) Je vous inviterai à voir sur Openrunner à quoi ça ressemble.
Une dernière bosse dont le sommet est à 3.5km de l'arrivée devrait assurer du mouvement en fin de course.

[Native]

3ème étape :

Jean-Marc Marino – 34 ans, né à Castres
Ancien coureur professionnel
Trois participations au Tour de France

L’étape Reine de la 42ème édition de ma course favorite, est une étape splendide ! Les routes ariégeoises ont souvent été l’occasion pour les coureurs de s’expliquer en montagne, que cela soit sur le Tour de France ou la Route du Sud, et cette étape entre Prat-Bonrepaux et les Monts d’Olmes ne dérogera pas à la règle !

L’étape sera très dure à contrôler, une fois passé Massat le peloton n’aura plus un moment de répit : avec au menu le magnifique Port de Lers ou le Chioula, entre autres, des belles routes étroites avec notamment celle des crêtes entre Tarascon et Ax-Les-Thermes, elle sera propice à une échappée qui aura toutes ses chances d’aller au bout ou ne sera rattrapée que par les meilleurs.

Le final se fera dans un décor grandiose, avec le passage aux abords du château cathare de Montségur et la montée finale aux Monts d’Olmes, où j’avais eu bien mal aux cannes lors de l’arrivée de la 2nde étape de la Route du Sud en 2007 ! Une chose est sûre : celui qui saura dompter les montagnes ariégeoises sera un costaud !

L'étape-reine en Ariège ! Pas les plus grands cols Pyrénées donc, mais des enchaînements difficiles, notamment le tremplin Montségur / Monts d'Olmes dans le final

[Native]

4ème étape :

Laurent Jalabert – 49 ans, né à Mazamet
Vainqueur de la Route du Sud 1996

L’étape-reine du samedi ne sera pas seule décideuse du classement général de la Route d’Occitanie 2018. Le dimanche, les premiers kilomètres audois ne seront pas de tout repos. Mais c’est surtout après le passage à Mazamet que les choses sérieuses vont commencer.

Le Pic de Nore, escaladé du même côté que le Tour, présente de redoutables pourcentages sur une route étroite. La deuxième partie d’étape reste difficile. Les bosses se succèdent à travers le Minervois, et jusqu’à Saint-Chinian, dans un superbe décor souvent viticole que les coureurs ne prendront pas le temps d’admirer. Les deux luttes, pour l’étape et le général, offriront en tout cas du spectacle jusqu’à Cazouls-lès-Béziers.

Une dernière étape bien plus difficile et piégeuse cette année grâce à l'inversion de la boucle "Hérault-Tarn / Pyrénées / Gers".
Le Pic de Nore en répétition avant le Tour, précédé de routes ardues dans la Montagne Noire. Final très valloné avec 4/5 côtes dans les 45 derniers kilomètres, dans les paysages du Minervois et du vignoble de Saint-Chinian. Etape difficile à contrôler, parfait pour en terminer.

[Native]

Et j'en termine avec les équipes :



Les habituées côté World Tour, et de belles Conti Pro, avec la nouveauté du côté des Colombien de Manzana (on connaît l'engouement des Colombiens pour la Ruta del Sur, ça promet )

Des surprises en continental avec Bike Aid qui a montré de très belles choses sur le circuit Africain et la nouvelle équipe de développement franco-mongole Nice Project Côte d'Azur dont ce sera l'une des premières courses en Europe

[bullomaniak]

Ca me pique mes idées de parcours OKLM.