Modérateur: Animateurs labo à parcours
Aprosk a écrit:I like it! I'll only avoid descending gravel sectors in a GT (even Zomegnan had problems with it )
The second week is perhaps too much but I like it a lot Sarentino seems a good location to end a stage after Pennes.
For the Sassotetto I propose a descent arrive in Sarnano after the hard side, with 7 km averaging 11%
TYphoonuke a écrit:Alors je trouve déjà que 4 étapes pour sprinteurs, c'est trop
Samuel a écrit:Non
jpcollins a écrit:Salut, on est bien d'accord que les descentes du Sampeyre et du Fauniera sont trop dangereuses ?
Première étape pour sprinteurs, on fait deux fois le tour du Vésuve avant de revenir à Pompéi. On passe le long de la mer donc des bordures sont toujours envisageables
Dès le deuxième jour, une étape dangereuse pour le CG. La présence du TTT le lendemain pourrait désorganiser les équipes, et l'étape pourrait donc profiter à un audacieux.
Ceci contre-la-montre par équipe. Il risque de monopoliser les équipiers la veille qui s'économiseront en vue de cette étape. J'éspère.
On relie la ville de Naples à la capitale, Rome, dans une trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès longue étape de type plate. par contre la présence du littoral quasiment tout la journée peut entraîner la création de bordures.
Encore une étape longue mais cette fois pour des grimpeurs ou des baroudeurs. Si les leaders veulent prendre du temps, ils devront attaquer dans le Passo de la Via del Lago car le final sera plat. On pourrait avoir une belle bagarre.
Etape pour puncheurs cette fois avec une multitude de côtes qui s'enchaînent. Ça pourrait vite faire exploser un peloton usé par deux longues étapes.
Encore une très longue étape, presque toute plate mais une nouvelle fois on pourrait avoir droit à quelques bordures si la météo s'y prête. Sprint massif attendu vers Bologne
Cette 8ème journée sera composée de deux demies-étapes! Et pour bien commencer la journée, une étape très courte et indécise. Les sprinteurs auront leurs chances si leurs équipes les mettent dans de bonnes conditions mais les baroudeurs et les puncheurs pourront aussi envisager de lever les bras à Padoue grâce à la présence d'un mur à plus de 11% de moyenne aux deux tiers du parcours. A noter également que le final sera très sinueux dans les rues de Padoue avec des rues parfois étroites et/ou pavées (de centre ville mais quand même) ainsi que quelques virages assez techniques. On pourrait donc avoir deux sprinteurs vainqueurs différents en deux jours
Deuxième partie de la journée et un moment important pour les favoris avec un ITT de 23km reliant Padoue à Mirano. Les grimpeurs devront limiter la casse avant d'attaquer la haute montagne dès le lendemain.
Départ de Venise, une des plus belles villes du monde, vers le premier affrontement entre favoris en haute montagne sur ce Giro avec une arrivée au sommet qui risque de faire un sacré tri au CG. Le terrible Monte Zoncolan verra un vainqueur très costaud sur ses pentes monstrueuses qui l'ont rendu mythique, et il y aura sans aucun doute une belle bagarre pour la victoire d'étape comme pour le maillot rose.
Après une journée de repos bien méritée, le peloton repart de Vérone, la ville de Roméo et Juliette, dans une étape indécise: qui d'un baroudeurs, d'un puncheur, ou d'un grimpeur ayant attaqué pourra l'emporter à Valbusi? Le final se fera en boucle. Si un prétendant au maillot rose veut gagner du temps aujourd'hui, il devra attaquer dans une des deux dernières difficultés catégorisées 2C, mais les baroudeurs restent les grands favoris du jour, d'autant plus avec une étape très importante pour le CG le lendemain.
Etape très longue et très importante pour le classement général. Les coureurs grimperont en haut des très durs Stelvio et Mortirolo avant d'aller jusqu'à Aprica, et on sait ce que peut donner cet enchaînement final . Le départ en côte pourrait favoriser une belle échappée.
Etape de rattrapage pour les leaders qui auront perdu du temps la veille. Après l'Alpe di Neggia, il restera peu d'équipiers pour tenir les favoris et certains pourraient attaquer, notamment dans l'Alto Malcantone.
Etape plutôt courte pour les sprinteurs qui parviendront à tenir dans la succession de petites côtes. Aucun pourcentage, la seule difficulté pour Kittel&co sera l'enchaînement
Deuxième et dernière véritable arrivée au sommet de ce Tour d'Italie. Contrairement à l'étape 9 qui est une pure CC, le gros morceau de cette étape sera précédé de 3 cols. Tout d'abord, le Simplonpass permettra à une échappée de prendre le large. Après une assez longue partie en vallée, on montera à Ovronnaz puis au col du Lein, deux difficultés très pentues. le tri devrait se faire par l'arrière, et la présence de ces cols permettra au seconds couteaux d'attaquer et aux leaders de se fatiguer. La victoire se jouera au sommet du col du Grand Saint-bernard avec une vue absolument magnifique dans les derniers km.
Dernière occasion de la semaine de gagner du temps pour les grimpeurs. Les coureurs devront affronte plus de 200km sans vallée, les montées s'enchaînant parfaitement. S'il ne devrait plus rester grand monde au pieds du Finestre, c'est sûrement dans celui-ci que les leaders pouvant encore prétendre à la victoire finale devraient attaquer. Le Finestre, avec son chemin de terre, ce col mythique dans lequel les meilleurs devront faire la différence avant le long faux plat vers Sestrières
Chrono assez long mais qui devrait permettre à des Dumoulin de se replacer au général, pendant que les poids plumes devront limiter la casse tant bien que mal. On passera sur le mythique Poggio et deux autres côtes qui devraient permettre aux plus mauvais rouleur de ne pas se retrouver à 10min
La dernière vraie étape de montagne de ce Giro. Après un long chrono, certains seront obligés d'attaquer tôt.
On commencera la journée en grimpant le magnifique col de Tende et ses lacets en terre, puis, après un petit détour par la Madonne del Colletto, on arrivera devant l'enchaînement final : Fauniera-Sampeyre La Fauniera c'est vraiment trop beau bref je m'égare, on pourrait avoir une dernière étape de haute montagne totalement folle...
Etape de moyenne montagne pour retourner vers la côte qui est un peu inspirée de la dernière étape de Paris-Nice, un format court avec des ascensions pas trop dures mais qui peuvent permettre de belles offensives quand même. On pourrait avoir une étape à suspens, surtout si le maillot rose se joue à quelques secondes comme sur la promenade des anglais, qui-sait?
Le col en début d'étape devrait faire craquer la plupart des sprinteurs, mais ils auront tout le reste de la journée pour rentrer tranquillement dans le peloton. Encore une fois, on est proche de la mer, donc des bordures sont envisageables.
Pas mal de petites côtes pour relier Pise, célèbre pour sa Tour, et San Giminiano, sans doute un des plus beaux villages de Toscane Si le CG est serré, certains leaders à l'aise sur les terrains vallonnés tenteront de gagner de précieuses secondes.
On reprend mètre par mètre le tracé de l'édition 2018 désormais mythique, en espérant un scenario tout aussi fou et pourquoi pas un changement de maillot rose sur la Piazza del Campo, en haut du fameux mur pavé? En tous cas, cette étape sera la dernière occasion de reprendre du temps sur le maillot rose, les leaders devront donc attaquer, et on pourrait avoir un beau bordel
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