Modérateur: Animateurs labo à parcours
Umb a écrit:+1 mais le nouveau nom n'a pas l'air d'être en vigueur encore
friton01 a écrit:
Ils ne se sont pas cassés la tête chez ASO pour le "nouveau" logo.
A mon avis ça part sur un partenariat image équivalent à celui de Named Sport sur Tirreno-Adriatico pour faire rentrer un peu d'argent dans les caisses.
friton01 a écrit:La dernière étape a été rallongé de quelques kilomètres et passe de 129 à 136 km :
Première étape dans la Drôme provençale, qui devrait normalement sourire à un sprinteur capable de bien passer les bosses, si bien sûr le peloton ne se laisse pas piéger par un ou plusieurs attaquants, notamment dans la dernière difficulté dont le sommet est à 10 kilomètres de l'arrivée.
Deuxième étape longue et montagneuse sur de petites routes étroites et tortueuses, avec une succession de difficultés dont trois classées en 1ère catégorie. Assurément un premier gros rendez-vous pour les favoris à la victoire finale, mais qui peut aussi permettre à des baroudeurs d'attaquer de loin et d'espérer ne pas être rattrapés avant la ligne d'arrivée. Dans tous les cas, il peut y avoir de gros écarts en fin de journée...
La troisième étape, relativement courte, présente un début de parcours accidenté avec notamment une grosse ascension jusqu'au col de Meyrand, puis une seconde partie qui devrait permettre aux équipes de sprinteurs de revenir sur les probables échappés et de provoquer une arrivée groupée au Puy-en-Velay. Attention toutefois à la petite côte juste après le premier passage sur la ligne et dont le sommet est situé à 10 kilomètres de l'arrivée !
La quatrième étape entre Brioude et Roanne est clairement taillée pour inciter les attaquants à partir de loin, avec une succession de difficultés tout au long du parcours dont certaines présentent de forts pourcentages. Les côtes de la Vidalie (km 105) et de Tréveilles (km 145.5) offrent notamment de longues sections dépassant les 15%. Dans tous les cas, il est peu probable qu'un gros peloton arrive groupé à Roanne pour jouer la gagne !
L'épreuve chronométrée individuelle pour ce cinquième jour de course, avec un parcours de 23.3 kilomètres présentant un violent mur avec de forts pourcentages sur une toute petite route presque au départ, puis une suite beaucoup plus roulante pour rejoindre la petite ville de Belmont-de-la-Loire. Il faudra donc bien savoir négocier cette difficulté du départ et être capable de relancer tout en puissance ensuite...
Cette sixième étape est la plus longue avec 224.5 kilomètres, mais aussi celle qui ne devrait a priori pas échapper à un sprinteur... enfin, normalement ! En effet, après environ 80 kilomètres accidentés dans les monts du Lyonnais, les coureurs auront à parcourir 140 kilomètres de plaine dans la région des Dombes. Par contre le vent, fréquent dans la vallée du Rhône et de la Saône, peut jouer un rôle déterminant et provoquer des bordures, surtout que le parcours change souvent de direction et sera forcément exposé.
Une septième étape très courte avec seulement 103.0 kilomètres, mais qui devrait faire très mal et provoquer de grosses défaillances. En effet, si les purs grimpeurs profitent des terribles pourcentages du Grand Colombier depuis Virieu-le-Petit pour attaquer et mettre la pagaille, la rapide descente sur Culoz et l'enchainement avec le col du Clergeon peuvent engendrer des écarts importants entre les différents favoris à la victoire finale...
Pour ce dernier jour de course, une très grosse étape de haute-montagne comme une apothéose, avec presque 5500 mètres de dénivelé positif et une arrivée au sommet dans la station de Val-Thorens, après plus de 37 kilomètres d'ascension... Avant cette dernière difficulté, les coureurs auront déjà dû gravir notamment les terribles cols du Grand Cucheron par Champlaurent et surtout de la Madeleine par son versant le plus difficile ! Autant dire que les défaillances seront inévitables et que seuls les meilleurs se bagarreront devant pour la victoire d'étape et celle pour le classement général.
JackyDurand a écrit:Le seul parcours qui peut mettre en valeur le GC par Virieu c'est une arrivée au sommet. L'escamotage de 2016 était navrant. En plus ça passe très mal à la télé sans caméra fixe dans les passages les plus pentus qui sont en sous bois. Ya moyen d'en faire un Oude Kwaremont et de brancher des tireuses à bière ( j'ai commencé à acheter les terrains)
bullomaniak a écrit:L'escamotage de 2016...
Mais bien sûr.
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