Carrière Benetton Formula:Pré saison 1 -
saison 1Pré saison 2 -
saison 2La conception a encore été basé sur l’économie, avec un travail sur l’efficacité du carburant à partir du moteur Renault qui reste. Le niveau de la voiture augmente, mais elle reste toujours la plus faible du plateau. Il reste 20 millions pour la développer.
Chez les pilotes, changement donc. Stanaway n’ayant pas percé dans le monde du cinéma, sa valeur marchande et les sponsors suceptible de venir ont baissé et il n’est pas conservé. Deux pistes sont étudiés dans un premier. La priorité, Marcus Ericsson, avec qui les négociations seront un échec. Sauf que la durée nous fait rater Gasly, la seconde cible. On se tourne donc vers un ancien pilote de F1 en la personne de Rio Haryanto. Certe, il a été lâché de tous ses sponsors, mais on espère qu’il sera la clé de succès, et fera progresser l’écurie dans le classement :
Il sera associé à Eriksson qui effectuera sa seconde saison chez nous. A lui de confirmer le potentiel aperçu, car on espère le conserver une saison de plus.
Je signalerais tout de même un problème avec le mod utilisé, que je n’ai pas vérifié en début de partie. Rio Haryanto est présent deux fois dans la partie, deux fois en GP3.
Grand Prix de Russie 1 :
Sur une piste humide, on est relativement loin, dix-neuvième et vingtième, à plus de quatre seconde pour Rio, plus de cinq pour Eriksson. Inquiétant.
Après un bon départ, Haryanto ruine son début de course en explosant son aileron avant sur Di Resta. Il reviendra dans la course au top dix, avant de voir la fiabilité de la voiture l’obligé à s’arrêter réparer. Il finira quatorzième. Eriksson pense tenir le top dix. Mais lui, c’est le clone Haryanto qui le percute dans le dernier tour et lui fait perdre trois places, rageant.
Grand Prix d’Allemagne 1 :
Le travail des mécaniciens est intéressant et permet au deux voitures de se régler pour ce premier grand prix d’Allemagne. Autre conséquence, les deux pilotes sont dans le rythme. Haryanto signe le neuvième temps tandis que Eriksson est sixième.
Malheureusement, le grand prix démarre sous la pluie. Et le Grand Prix d’Eriksson est vite ruiné, il est percuté dès le troisième tour en fin de ligne droite et perd le contact avec le peloton. La même chose arrivera à Haryanto après les premiers arrêts aux stands, alors qu’il a choisi de rester en intermédiaire, quand les adversaires ressortent en tendre. Le coup stratégique échoue. Dommage, car l’indonésien finit sixième, tandis que le suédois est dixième, profitant des très nombreuses destructions d’ailerons sur ce grand prix.
Grand Prix d’Italie 1 :
Première mauvaise nouvelle, Haryanto a décidé de rejoindre une secte, nuisant à ses performances. Il signe quand même le dixième temps des essais libre. Eriksson lui finit cinq places plus loin.
Derrière, le grand prix est catastrophique. On tourne pratiquement deux secondes moins vite que la concurrence, nos arrêts aux stands sont catastrophiques, les pièces ne tiennent pas bref, un grand prix à oublier avec seizième et dix-septième place de Eriksson et Haryanto.
Grand Prix de Portugal 1 :
Les performances aux essais sont encore encourageantes. Eriksson vient signer le douzième temps quand Haryanto est neuvième.
Mais bon, les essais ne font pas la course. La voiture n’est clairement pas au niveau, et l’on profite des sorties de route, quatre sur ce grand prix, et des accrochages pour placer nos pilotes au douzième et treizième rang, mais il est impossible de lutter à la régulière.
Grand Prix de Belgique :
Fidèle à lui même, Haryanto vient prendre la dixième place des essais. Eriksson est à nouveau douzième. Mais comme on l’a déjà vu, ce n’est pas forcement signe de réussite en course.
En course, on y est pas. Les voitures tournent pratiquement deux secondes moins vite. Les ravitaillement sont beaucoup trop long, la saison est d’ores et déjà à oublier, à moins d’un gros sursaut. Car ici, Haryanto est dix-septième, Eriksson dix-neuvième.
Grand Prix d’Allemagne :
Petit changement aux essais. Si on est encore en milieu de tableau, c’est Haryanto qui est douzième. Eriksson est plus haut, huitième.
Finalement, la course nous rassure un peu. Le départ est donné sous la pluie. La meilleur gestion des pneus de Haryanto, qui ne bloque pratiquement pas ses roues, lui permet de faire des relais plus long. Son début de course est quand même ruiné quand il se fait percuter par Abt et doit changer son aileron arrière. Qu’importe, il remonte, chausse les pneus sec au bon moment, et finit huitième. Eriksson lui n’a pas de soucis. Il profite des accrochages qu’il évite, remet des pneus intermédiaire quand la concurrence est en sec, sur une route mouillée, quitte à faire un arrêt supplémentaire. Stratégie payante, il sera septième sur la ligne d’un grand prix remporté par le fils Alesi.
Grand Prix du Royaume-Uni :
Temps anglais pour les essais. Et cela à l’air de réussir à Haryanto, sixième temps, mais aussi à Eriksson, huitième, sous un temps qu’il est loin d’affectionner.
Pourtant, en course, on est loin d’être dans le coup. Les voitures tournent encore deux secondes moins vite. Il est difficile de faire une place et cela se voit. Haryanto est dix-septième, Eriksson quinzième.
Grand Prix du Portugal 2 :
Les essais se déroulent dans la continuité des autres, aux portes du top dix. Haryanto, qui n’arrive pas à sortir de sa secte, est treizième, Eriksson, qui a décidé d’investir dans l’équipe, onzième.
Le grand prix, Haryanto est vite percuté. Il ressort quinzième, loin du pilote devant, loin du pilote derrière, il ne pourra faire mieux, ni pire. Eriksson est lui dans le coup pour le top dix, jusqu’à se faire percuter par Gutierrez. Résultat, une treizième place et des regrets.
Grand Prix d’Italie 2 :
On fait nos tours chronométré après la pluie, en pneu sec. Le résultat est là avec la troisième place de notre indonésien qui bénéficie du dernier moteur, et la sixième du suédois.
Le suédois est plus en galère lors de la course. La voiture n’avance pas et il ne cesse de rétrograder au fil des tours. Cela se finira par une dix-septième place, encore. Haryanto et son moteur son bien mieux. Si ils ne sont pas les plus rapide, ils sont au moins dans le rythme pour aller chercher la sixième place.
Grand Prix de Russie 2 :
Les bienfaits du nouveau moteur de Haryanto se confirme, il signe le quatrième chrono du jour. Eriksson est lui dans la continuité de ses dernières performances avec le douzième temps.
Le grand prix est nerveux. Les accrochages sont nombreux et au bout de dix courses, ils ne sont déjà plus que dix dans le même tour, huit quand Haryanto est accroché par Matsushita. Puis la pluie arrive. On chausse les intermédiaires, la concurrence les pluies directes. On chaussera les pluies plus tard avant de finir en intermédiaire la fin de course. Stratégie payante puisque l’écurie signe ses deux premiers podiums sur cette course.
Cette dernière course nous fait du bien, on remonte largement au championnat des pilotes et constructeurs. Des deux dernières places, Haryanto et Eriksson remontent au treizième et quinzième rang. Chez les constructeurs, on fini la saison huitième. Virgin remporte le championnat, Di Resta est le meilleur pilote :
Virgin remplace donc MP Motorsport qui est rélégué en GP3. Un GP2 qui verra deux changements. En effet, Racing Engineering et son champion pilote Grosjean ont accepté l’invitation à rejoindre la F1 :
A la place de qui ? Torro Rosso, qui, avec ses deux pilotes débutants, n’a pu éviter la dernière place. De l’autre coté, Bottas, passé chez Ferrari, ramène le titre pilote à la marque au cheval cabré. La troisième place mondiale de Vettel permet à la Scuderia de remporter également le championnat constructeur :