[Concours] Une nouvelle classique

[Leinhart]

la Malaisie, la Corée, le Maroc, le Vénézuela, l'Argentine, etc etc

Ah si c'est la culture vélo façon Vino_93 ça élargit largement le champ des possibles

[vino_93]

la Malaisie, la Corée, le Maroc, le Vénézuela, l'Argentine, etc etc

Ah si c'est la culture vélo façon Vino_93 ça élargit largement le champ des possibles

Bah ça reste des pays où le vélo est populaire, où il y a quelques belles épreuves, quelques bons coureurs, des équipes de bon niveau, et qui sont parmi les leaders sur leur continent. Après c'est sûr, c'est moins dans l'objectif recherché que les premiers de la liste (et ça devra être pris en compte au moment du vote de chacun, du moins personnellement je le prendrais en compte : il faudrait vraiment une grande épreuve dans ces pays là pour récolter mon vote )

[Kreuziger]

Est-ce que Taïwan est considéré comme un pays de cyclisme

[vino_93]

Est ce que je t'en pose des questions moi ?

Oui ça peut faire parti de ces pays secondaires possibles ... c'est même probablement plus intéressant sur un plan médiatique que ceux que j'ai cité (et en plus, bcp de marques de cycles produisent à Taïwan si je ne dis pas de bêtise).

[Wings]

Je pars pour l'Afrique du Sud

[Kreuziger]

Est ce que je t'en pose des questions moi ?

Oui ça peut faire parti de ces pays secondaires possibles ... c'est même probablement plus intéressant sur un plan médiatique que ceux que j'ai cité (et en plus, bcp de marques de cycles produisent à Taïwan si je ne dis pas de bêtise).

Très bien je pars à Taïwan

[vino_93]

Après c'est aussi à chacun d'évaluer lui même l'intérêt du pays en question en fonction du cahier des charges. Il n'y a pas de pays imposés, juste une directive (hors de l'Europe, avoir déjà du cyclisme de préétabli, faire une classique pouvant attirer une large attention médiatique hors Europe).

C'est aussi à chacun d'entre vous de présenter le contexte (pourquoi ce pays, ses atouts, son attrait; mais aussi en montrant la plus value de votre course, même si le pays est en deça des 7-8 grands pays hors Europe dans le cyclisme).

On votera en conséquence après

[Wings]

CAPE CLASSIC

Carte



La Clasica San Sebastian n'existe plus. L'UCI cherche alors à s'internationaliser et cherche un pays ayant un attrait pour le cyclisme énorme mais aucune épreuve WT organisée chez elle. Louis Meintjes fait pression sur la ville du Cap pour déposer sa candidature. Quelques jours plus tard, le projet des organisateurs voit le jour ! Une classique de 275 km entre l'Océan Atlantique et False Bay.
L'épreuve partira de Stade du Cap et longera l'Atlantique vers Hout Bay avant de traverser la péneinsule du Cap dans des paysages grandioses. Les collines donneront des vues spectaculaires sur l'Océan et les Monatgnes sur cette classique qui joue sur l'harmonie entre les deux. Vallonées, la course arrivera à Signal Hill, ancien Fort qui surplombe Le Cap et donne une vue sublime sur toute la ville .

La Classique en images

KM 0 : Cape Town





KM 6 : Sea Point - Fresnaye



KM 18 : Hout Bay - Dungeons





KM 26 : Tokai Forest




KM 36 : Noordhoek




KM 48 : Muizenberg




KM 55 : Fish Hoek




KM 70 : Cape Peninsula - Atlantic Side




KM 78 : Kommetjie




KM 109 : Table Mountain - Skeleton Gorge





KM 114 a 129 : Cape Town: Newlands et Mowbray




KM 184 : Cape of Good Hope (De loin)





KM 198 : Simon's Town





KM 207 : Seal Island (De loin) et False Bay





KM 275 : Signal Hill

Les Montées en images :

Fresnaye :



Dungeons :



Byrn Hill :



Red Hill :



Silver Mine Hill :



Constantia Glen :



Camps Bay :



Ruyteplaats Hill :

[img][img]http://img11.hostingpics.net/pics/247173Sanstitre.png[/img][/img]

Bay View :



Silver Mine Hill (2) et Dungeons (2) :.

Voir Haut

Oudekraal Bay View



Signal Hill :

[vino_93]

On remarque une très belle attaque du Requin de Sicile

Superbes paysages, ça donne envie

[Cyro]

Je prend la Nouvelle-Zélande et la baie autour de Dunedin. (j'avais le Cap en tête aussi, mais Wings a été plus réactif )

[Cyro]

The Dunedin Otago Peninsula Classic

Profil



50 derniers kilomètres

Principales difficultés

Highcliff Road
Waihola Hill
Highway 47
George King Memorial Dr Wall
Brockville Road
Blueskin Road
Mount Cargill
Blacks Roas

Carte

Photographies

Portobello Bridge, lieu du départ réel de l'épreuve.




Portobello, après avoir longé la baie pendant une vingtaine de kilomètres, les coureurs aborderont la première difficulté du jour dans cette localité.




Highcliff Road, la première ascension du jour, là où un premier groupe d’échappés devrait se former.




Vue depuis le sommet de cette première côte, au sommet de la péninsule de l'Otago.




Le peloton ira ensuite plein sud en longeant l'océan pacifique pendant une trentaine de kilomètres.




Au niveau de l'embouchure de la Waipori River (traversée par le Pont de Taieri Mouth), nous nous dirigerons vers les terres en attaquant la deuxième difficulté majeure du jour : le Mount Waihola.





Après une descente jusqu'à la commune de Waihola, on fait le tour du lac éponyme par le sud.




De Clarendon à Berwick, sur l'autre rive du lac, les coureurs devront affronter 18km sur des routes non goudronnées.




Puis après une quarantaine de kilomètres de plat, les coureurs reprendront de la hauteur en direction de Lee Stream, le point culminant de l'épreuve à plus de 500 mètres d'altitude.




Au niveau de Lee Stream, le peloton tournera à droite et affrontera pendant 33km la très vallonée George King Memorial Road





Après une descente technique et rapide vers Outram, les coureurs repartiront en direction de Dunedin.




On profitera de ce retour en ville pour attaquer la difficile ascension de Brockville Road.




Puis, après un passage tout près de la ligne d'arrivée, on attaquera la boucle finale de 50 kilomètres au nord de la ville.




On commencera par longer à nouveau la baie, rive nord ce coup-ci, en face du chemin empruntée au départ.




A Port Chamlers, un des juge de paix de cette classique s’élèvera devant les coureurs : la Blueskin Road, au sommet de laquelle nous aurons encore un grandiose panorama.




Après une courte descente, les coureurs devront aborder un périlleux virage en épingle, pied de la dernière grade ascension du jour : le Mount Cargill.




En suivant de cette ascension plutôt roulante, le peloton replongera en direction de la ligne d'arrivée avec une belle descente rapide et technique.




Sur le chemin du retour vers le centre ville de Dunedin, les coureurs passeront au pied de la célèbre Baldwin Street, considérée comme la rue la plus pentue du monde.




Cependant, c'est 3 rues plus loin que les coureurs bifurqueront sur leur gauche pour la dernière difficulté du jour, la plus courte : 550 mètres, mais la plus dur niveau pourcentages avec ses passages à plus de 20% : Blacks road.




Après un courte descente au cœur du jardin botanique de la ville, les coureurs aborderont une dernière boucle plate d'une quinzaine de kilomètres en direction de la ligne d'arrivée.





Ligne d'arrivée qui se situera sur George Street, au niveau de l'Octagon, centre névralgique de la cité néo-zélandaise.

Présentation

La Nouvelle-Zélande, pourquoi ?

Pays de moins de 5 millions d'habitants, la Nouvelle-Zélande n'en reste pas moins un pays de cyclisme, notamment sur la piste, à l'instar de son voisin et "grand frère" Australien, mais qui parvient à lancer de plus en plus de coureurs dans le grand bassin de la route. Malgré la taille et la faible densité de population, les infrastructures du pays sont largement compatibles à l'organisation d'une classique du World Tour.

Julian Dean (US Postal, CSC, Credit Agricole, Gramin, Orica GreenEdge), un des précurseur de la route dans les antipodes, et aujourd'hui directeur sportif de l'équipe Australienne WT Orica-GreenEdge sera l'ambassadeur de cette candidature. Après 14 saisons au plus haut-niveau du cyclisme mondial, et ayant roulé sur toutes les plus grandes courses du mode cycliste, il est aujourd'hui sûr de la capacité de son pays à organisé une telle course, qu'il estime être un juste retour des choses pour un pays qui n'a jamais eu la chance d'organiser de grands événements sportifs à dimension mondiale (hors rugby), et encore moins en cyclisme.

Le comité de soutien à cette candidature verra en son sein le "régional de l'étape", le natif de Dunedin, et à l'image de Julian Dean, un ancien de peloton et un des meilleurs sprinter puis poisson-pilote qu'il y ait : Gregory Henderson. (T-Mobile, Columbia, Sky, Lotto). Il fut l'un des premiers supporter de cette course et participa même à son tracé empruntant les routes de ses débuts.

Avec eux, la plupart des pros néo-zélandais : Jack Bauer (Cannondale Garmin), George Bennett (Lotto Jumbo), Sam Bewley (Orica GreenEdge), Hayden Roulston (Trek), ainsi que le mouvement Vélon (BMC, Etixx, Lampre, Lotto Soudal, Orica, Cannondale Garmin, Giant, lotto Jumbo, Sky, Tinkoff, Trek) soutiennent ce projet qu'ils pensent être positif du point de vue de l'ouverture du cyclisme vers de nouveaux horizons, dans des contrées "spectaculaires" qui ne pourra qu'engendrer plus de passion autour du cyclisme.


Pourquoi Dunedin ?

N'étant pas la ville la plus connue du pays, le choix de Dunedin peut surprendre. Longtemps en concurrence avec Wellington et Auckland, et toujours au coude-à-coude avec sa voisine Christchurch, Dunedin bénéficie d'un cocktail de paysages sauvages et grandioses de l'île du Sud et de bonnes infrastructures routières et d'accueil pour une course de ce niveau. De plus cette partie côtière de l'Otago permet un tracé de parcours entre grandes plaines verdoyantes, plateaux peuplés de moutons et côte baies peuplées de manchots, signe de la proche présence de l'Antarctique.


Pourquoi ce tracé ?

La volonté des organisateurs étaient de tracer une course à la fois difficile (7 difficultés "majeures"), mais indécise (pas de parcours trop vallonné, trop plat, pas de sprint en côte incitant à l'attentisme), près des côtes exposées au vent, puis dans les plateaux quasiment inhabités, empruntant des descentes techniques,
des longues montées roulantes et des raidars courts et violents... De plus, selon le déroulement de la course chaque année, les organisateurs pourraient adapter le tracé afin d'éviter de s'installer dans une monotonie contre laquelle Vélon s'insurge de plus en plus dans sa quête de changement du modèle du cyclisme.

[Moozam]

GP de Colombia

Apres la suppression de la Clasica San Sebastian, la Colombie se porte candidate pour l'organisation d'une classique WT. Elle compte s'appuyer sur l’engouement du peuple colombien pour le cyclisme et sur la génération dorée de grimpeurs colombiens



Carte

Alto de Letras

Pas de probleme pour la qualité de la route :



La route qui serpente dans la foret

Le col qui arrive d'entrée peut paraitre impressionant, il est tres long mais pas extremement dur, l'objectif ici est de faire péter tous les équipiers afin d'avoir une course entiere sans équipier. A la limite quelques leaders pourraient exploser, l'echauffement sera important.
La suite du parcours est tracé de maniere à empecher le retour des équipiers en passant par 50 Km en montagne russe, qui seront aussi bien usant. C'est dans l'enchainement Estrellin-Cruz que les leaders devraient se dévoiler sachant que le final est moins dur et qu'il faut faire la sélection.
Etant donné qu'il n'y aura plus d'équipier, les 50 derniers kilometres devraient permettre une longue lutte entre les leaders. La cote peu pentu d'Alegrias permettra d'avoir une belle ascension entre les leaders sans pour autant bloquer la course.
Meme si le final n'est pas constitué de grand col, on devrait retrouver une belle bagarre entre grimpeur sur un terrain qui n'est pas forcément le leur. L'objectif de cette course est également de valoriser la résistance à l'altitude avec une cinquantaine de kilometre au dessus des 2000 m et un passage à plus de 3600 m, chose à laquelle les coureurs ne sont pas habitués du tout.

[Kreuziger]

Ce col Moozam

[El_Pistolero_64]

Grand Prix de Tasmanie

Profil :

Les 60 derniers kilomètres :

Carte :

Présentation à venir...

[Cyro]

Ce col Moozam

3200 de D+ en 1 col, ce truc épique

[Klira]

Ça c'est du col bien usant.

[Klira]

California's Classic road

A l'origine...

La terrible nouvelle de la disparition de la mythique Klasikoa passée, nous voici vers de nouveaux horizons. Et c'est tout naturellement, comme une évidence, que les Etats-Unis vont accueillir leur première grande classique. Après de nombreux tours (Utah, Colorado, Californie), il manquait clairement une course d'un jour. A la place de la Klasikoa, cela tombe juste avant le tour d'Utah, l'US Pro challenge, puis les classiques canadiennes, une belle opportunité donc malgré quelques éléments perturbateurs : les coureurs du TDF en fin de pic de forme vont-ils venir jusqu'ici comme il le faisait pour la classique espagnole ? La question reste ouverte.

C'est en Californie que va donc débarquer le WT. Une classique qui évoluera et changera de parcours voir lieu à chaque édition (tout bouge, la patte US (possiblement stupide au passage)), tout en restant dans le territoire californien. Pour cette première édition, départ de San Bernardino dans la banlieue de Los Angeles, sur la route 66.
Le terrain de jeu sera alors les montagnes de San Bernardino, avec, entre autres, les destinations touristiques de Big Bear, Lake Arrowhead, et Crestline, ville d'arrivée, comme paysages.
Une classique qui se veut pour les grimpeurs/puncheurs, fait bien trop rare dans le calendrier...

Le tracé...

On peut presque dire que le tracé se divise en deux parties : tout d'abord, les coureurs devront affronter de longs cols, avant d'entreprendre de véritables montagnes russes lors des 60 derniers km.

Après un peu plus de 10km, les 23km à pourcentage modéré de la Rim of the World, donneront aux grimpeurs une belle mise en jambes. Puis, le peloton effectuera une grand boucle dans la forêt national de San Bernardino, passant le point culminant de la classique, l'Onyx Summit (2573m) au km 110, avant de basculer enfin vers une très longue descente qui rejoindra la vallée. La troisième ascension du jour, plus ou moins parallèle à la première, lui sera également similaire, bien que très légèrement plus corsée ; son pied étant à 80km de l'arrivée, elle sera cruciale ! Les grimpeurs aimant les longues ascensions devront tout tenter pour décrocher les puncheurs qui auront du mal à retrouver leur souffle.

Ensuite, le plat n'existera quasiment plus, ce sera de courtes bosses et leurs descentes piégeuses, incessamment.
Il restera 35km et 5 bosses répertoriés à affronter, si la première, Grass Valley, semble assez roulante, les autres donneront une toute autre histoire, avec des pentes décisives et plus étroites dès le bitume plié d'Amador Ln ; un peu plus loin, Fairway Dr, puis Edelweiss Dr. Ce triptyque, véritable pépite du parcours, pourrait être la clé pour la victoire finale, mais le profil sans cesse vallonnée des routes pourrait faire la différence à tout moment. Il restera ensuite 14km, l'ultime montée, plus légère, et un plongée vers la ligne... 261 kilomètres et 5500 mètres de dénivelé plus tard. Où en seront les puncheurs ? Les grimpeurs auront-ils fait la différence ? Comment la course sera contrôlé ? Tant de question, où le meilleur puncheur des grimpeurs et grimpeur des puncheurs, s'il fait le déplacement, Alejandro Valverde, pourrait imposer sa classe...


(Cliquer pour agrandir)

Carte et profil des derniers kilomètres :

Route :

Départ de la mythique route 66 :


Les coureurs commence dans le vif avec la "Rim of the world", surplombant la vallée californienne et la mégalopole de Los Angeles. Une route large, un pourcentage régulier, avant de poursuivre le long de la montagne :






Les environs de Big Bear Lake, avant de passer Onyx Summit pour redescendre au cœur de la forêt national de San Bernardino (ou du moins ce qu'il en reste) et effectué la grande boucle :


Le point culminant de la course :


Après un descente vers la vallée, on remonte vers Running Springs avec une ascension assez similaire à la première, longue, régulière, usante, davantage dans les terres, où la sélection devrait aisément se faire au fil des kilomètres :


Après avoir fait le tour du Lake Arrowhead sur des routes vallonnées, place aux terrifiantes pentes d'Amador Lane, avec des pourcentages extrêmes, et des portions à plus de 20% :








On continue dans les incessantes bosses du parcours, et leurs courtes descentes le plus souvent très techniques. Ici, une des bosses décisives, Fairwayd Dr :




Nouveau petit mur alors que nous arrivons à moins de 15km de l'arrivée, même pas 1km mais avec des pentes conséquentes, l'Edelweiss Dr :






Au pied de la descente, un passage au Lake Gregory dans les abords de Crestline :


L'ultime petite bosse du parcours, divisé en deux parties montantes entrecoupé d'une légère descente, atteignant les hauteur d'Old Mild :


La descente finale, la ligne est maintenant très proche :


Le final avec cette longue ligne droite, en passages faux-plat (3/4%) dans les derniers hectomètres. La ligne d'arrivée :

[darth-minardi]

Si la limite était juste aux pays "traditionnels", j'aurais tenté une classique du Pays de Galles.

Mais comme on doit être hors d'Europe, je vais faire quelque chose en Nouvelle-Zélande, autour de Christchurch, via les terribles montées de la Péninsule de Banks.

[darth-minardi]

The NZ Classic
Christchurch - Banks Peninsula

261 kilomètres en tout, les 2 premiers sont entre le départ fictif et le départ réel, pour ensuite 259 km de vraie course.
Un cumul de 5 054 mètres de dénivelé positif, dont 4 726 mètres dans les 165 derniers kilomètres !

Départ fictif à côté d'un petit stade de rygby et d'un hippodrome, grandes possibilités de parkings et d'installations pour la signature des coureurs.
Départ réel après 2 km de ligne droite sur Barrigton Street, où les coureurs voulant se placer pour faire l'échappée ont pu.

Après 1 km de ligne droite, la première côte du parcours permet d'animer la création de l'échappée matinale.
Ensuite, près de 90 km avec des lignes droites entre campagne et petites villes. Il ne faudra y gérer que l'écart, car comme dans les monuments, la première partie est plane et ne sert qu'à faire la distance, avant les vrais difficultés dans les deux derniers tiers de course.
Une fois dans la Péninsule de Banks, la difficulté est tout autre. La première montée est la moins difficile et sert à mettre les coureurs dans le bain. Entre les grandes côtes, restent des successions de petites côtes. Très rares sont les moments de plat.
La deuxième grande côte est celle qui va le plus haut. A la sortie d'Akaroa, elle présente de très forts pourcentages, le tout dans un panorama époustouflant. Nombreux coureurs s'useront dans ces pentes. Si une équipe veut mettre en route, elle peut déjà faire sauter le peloton.
La suite, ce sont des montées entre différentes baies. Le paysage y est aussi sublime que les montées sont infernales. La troisième, à la sortie de Little Akaloa, est la pire en terme de pourcentage.
Les deux suivants sont un peu moins pentus, mais s'enchainent après cette terrible côte et n'offrent aucun répit. Même s'il reste encore 65 km au bas de la descente de cette 5e montée, le peloton aura forcément fortement réduit. Même sans grande attaque, les plus forts se retrouveront à l'avant.
Après une vingtaine de kilomètres accidentés à proximité de la Lyttleton Harbour, la dernière longue difficulté, retrouvant les hauteurs de la Péninsule de Banks est prise, avant une route dans les sommets encore accidenté, menant à la descente, menant aux 20 derniers kilomètres.
Ce final propose 3 côtes plus courtes, mais toujours aussi pentues, dans le Mount Pleasant, dernier massif où les favoris devront s'attaquer avant le final plat et plus linéaire pour revenir dans le centre de Christchurch.
Vers l'arrivée, il y a 5 kilomètres de plat. La dernière ligne droite fait 430 mètres, dans Wilsons Road, devant le grand stade de rugby du Lancaster Park (ou AMI Stadium après un naming).


Côtes du parcours :

-255 : (**) Cashmere, 1.5 km, 8.4 %
-157 : (***) Little River, 6 km, 7 %
-150 : (*) Barrys Bay, 0.5 km, 9 %
-147 : (*) Duvauchelle, 1.1 km, 7.8 %
-144 : (*) Takamatua, 1 km, 7.2 %
-136 : (*****) Akaroa, 6.8 km, 9.6 % (max de 21 % sur 80 m !)
-131 : (*) Otepatotu, 1.4 km, 7.9 %
-115 : (**) Okains Bay, 1.6 km, 10.3 %
-109 : (**) Chorlton, 4.4 km, 6.6 %
-98 : (*****) Little Akaloa, 5.8 km, 9.1 % (2.5 derniers km à 15 % !)
-80 : (****) Pigeon Bay, 4.4 km, 10.7 %
-69 : (****) Port Levy, 4.1 km, 10.3 %
-61 : (*) Purau, 1.3 km, 5.5 %
-53 : (*) Charteris Bay, 0.8 km, 7.7 %
-48 : (*) Teddington, 0.7 km, 7.2 %
-46 : (*) Allandale, 0.6 km, 7.8 %
-44 : (*) Governors Bay, 0.8 km, 8 %
-39 : (***) Dyers Pass, 3.3 km, 10.1 %
-33 : (*) Tors, 0.7 km, 8.7 %
-30 : (*) Tauhinu, 0.9 km, 8.4 %
-17 : (***) Moncks Bay, 2.2 km, 11.5 %
-11 : (**) Soleares, 1.3 km, 11.3 %
-7 : (**) Cannon Hill, 1.5 km, 8.4 %


Profil des côtes principales :
Obtenu via Openrunner, portions de couleurs de 200 m.
0 à 5 % : vert
5 à 7 % : jaune
7 à 10 % : orange
10 à 15 % : rouge
plus de 15 % : marron

Little River Hill, 6 km à 7 %, sommet à 157 km de l'arrivée :

Akaroa Hill, 6.8 km à 9.6 %, sommet à 136 km de l'arrivée :

Little Akaloa Hill, 5.8 km à 9.1 %, sommet à 98 km de l'arrivée :

Pigeon Bay Hill, 4.4 km à 10.7 %, sommet à 80 km de l'arrivée :

Port Levy Hill, 4.1 km à 10.3 %, sommet à 69 km de l'arrivée :

Governors Bays Hill, 800 m à 8 %
Dyers Pass, 3.3 km à 10.1 %, sommet à 39 km de l'arrivée :

20 derniers km dans le Mount Pleasant et vers Christchurch :
Moncks Bay Hill, 2.2 km à 11.5 %, sommet à 17 km de l'arrivée
Soleares Hill, 1.3 km à 11.3 %, sommet à 11 km de l'arrivée
Cannon Hill, 1.5 km à 8.4 %, sommet à 7 km de l'arrivée





Le profil Openrunner avec les couleurs pour les pourcentages sur tout le parcours :

Consultable dans une autre fenêtre en plus haute résolution

Carte du parcours et du final :

Photos du parcours :

[Cyro]

J'ai à peu près maj comme il faut, je rajouterai une petite présentation au dernier moment si j'ai le temps d'ici là