Carrière Benetton Formula:Pré saison 1 -
saison 1Pré saison 2Grand Prix de Russie 1 :
Pas de pilote d’essai cette année, Eriksson et Stanaway feront essais et course. Et pour la première session, Eriksson nous rassure sur notre choix avec le cinquième temps. Stanaway est plus loin, seizième.
Le grand prix confirme cette tendance. Eriksson réalise une superbe course qui lui permet de finir quatrième, profitant de la pluie nottament et de changement de pneus judicieux. Stanaway par contre, réalise une course catasrophque. Responsable de deux collisions, il est également percuté en fin de course. Avec deux changements d’aileron avant et un arrière, difficile de performer. Il finit 17ème, et dernier des concurrents qui termine ce grand-prix.
Grand Prix d’Allemagne 1 :
Les temps réalisés sont peu significatfs, étant fait en intermédiaire sur une route mouillée quand tout les adversaires ont signé un chrono sur route sèche. Sans surprise, Eriksson et Stanaway signent les deux pires temps.
Pour Eriksson, la course est une catastrophe. Lors de sa première rentrée au stand, il coupe la route de Di Resta. Conséquence, un aileron arrière en vrac, qui ne peux plus être remplacé sur l’arrêt au stand, un tour complet sans cette aileron, un second arrêt pour réparer et la sanction du passage par les stands. Conséquence, une 16ème place finale, doublant juste Di Resta. Stanaway réalise un grand prix correct, et finit onzième.
Grand Prix d’Italie 1 :
Les essais sont rassurant. Sur ce circuit où la vitesse est essentielle, nos deux pilotes signent les huitième et dixième temps.
La course est plus délicate. Nos voitures tournent deux secondes moins vite que nos adversaires. On profite de leur lutte pour limiter la casse, et de notre fiabilité et rapidité dans les stands pour permettre à Eriksson de finir neuvième. Stanaway est lui quatorzième.
Grand Prix du Portugal 1 :
Les essais sont inquiétant d’un point de vu performance. Le scandinave signe le quinzième temps quand le kiwi est dix-huitième. Heureusement, les réglages semblent bon.
La course est assez nerveuse, la preuve avec de nombreux accrochages en début de course. Heureusement, nos pilotes passent entre les chocs et s’assure pratiquement une place dans les dix. Stanaway en sort faute à sa transmission sécurisé à quelques tours de la ligne. Eriksson lui résiste longtemps à Aitken avant de céder à deux tours de la fin, et finir tout de même à une belle septième place.
Grand Prix de Belgique :
Des essais assez laborieux en terme de performance, avec des places dans au seizième et dix-septième rang, pour Eriksson et Stanaway.
Stanaway réalise un super début de course. Il est dans le coup pour jouer le top dix. Enfin ça, c’est jusqu’à ce que Aron le percute, ruinant toute nos chances de bien figurer. Le néo-zélandais est dix-huitième. Eriksson fait lui une course en fin de peloton, avant de finir relativement fort. Il parvient ainsi à remonter onzième.
Grand Prix d’Allemagne 2 :
Pour une fois, les essais sont plutôt rassurant avec deux voitures qui se montrent compétitives. Eriksson mène la sienne à la huitième place juste devant son coéquipier.
Stanaway est hors du coup sur la course. Sa carrière d’acteur à l’air de passer devant sa carrière de pilote, il finit quinzième, juste devant des pilotes qui ont subit différentes avaries en début de course. Eriksson est lui fidèle à ses habitudes en finissant onzième.
Grand Prix du Royaume-Uni :
Sous la pluie, les essais sont assez laborieux. Les temps réalisés par les deux pilotes les amène aux deux derniers rangs, le néo-zélandais devant le suédois.
Malheureusement, la course est identique. Eriksson n’est pas à l’aise sur route humide et cela se voit, il est complètement tétanisé (il finira la course avec un torticolis) et finit logiquement dernier. C’est guère mieux pour Stanaway qui finit juste devant, mais bien loin du reste du peloton. Un course à oublier, et qui nous fait perdre de gros point au classement des constructeurs.
Grand Prix du Portugal 2 :
Encore une fois, les essais sont inquiétant. Mieux qu’au Royaume-Uni, on évite les deux dernières place, mais pas tellement rassurant. Eriksson est quinzième, Stanaway quatorzième.
Les espoirs d’Eriksson en course tournent cours. Lynn le percute dès le début du second tour. Loin du groupe, il profitera des abandons de Vergne et de la seconde collision de Lynn avec Aitken pour gratter une place, dix-huitième. Pour Stanaway, le grand prix sera une longue dégringolade, nottament lors des arrêts aux stands où il perd énormément de temps. Il finit seizième.
Grand Prix d’Italie 2 :
Conséquence des mauvais résultat, un ultimatum tombe de la part de la direction. Il faut rentrer dans les onze à la fin de grand prix, ou c’est la porte. Les essais donnent bon espoir. Eriksson est septième. Stanaway est un peu plus dans le dur, seizième.
Le néo-zélandais ne crée pas de surprise dans la course. Jamais dans le rythme, il profite de la sortie de Delon pour éviter à la dernière place. Eriksson est lui un peu plus dans le rythme, surtout lors du premier relais. Ses adversaires vont accélérer en fin de course, mais il se maintient neuvième.
Grand Prix de Russie 2 :
Le grand prix pour Eriksson s’annonce plutôt bien, avec le cinquième temps des essais. Stanaway est plus loin, plus à la peine, quinzième seulement.
Des essais assez annonciateur du grand prix en fait. Eriksson profite de sa bonne voiture et de ses arrêts rapide pour maintenir sa place dans la course, finissant sixième. Stanaway devrai nous quitter sur une dernière quatorzième place.
Cette deuxième saison s’achève sur une médiocre dernière place au classement des constructeurs. Stanaway finit dernier des pilotes, Eriksson seulement quatorzième. On est loin de confirmer les bon débuts de l’écurie. Aron, nouveau pilote à ce niveau remporte le championnat devant son équipier chez Campos qui gagne le droit de retourner à l’échelon supérieur.
Ils iront prendre la place de Trident racing qui est relégué en ayant marqué un petit point en GP2. Russian Time va peut-être regretté de ne pas être passé en F1, ils sont cinquième cette année du classement constructeur. C’est Racing Engineering qui remporte le GP2 et gagne le droit de postuler à la F1, ce qu’il ne feront pas :
Cette décision permet encore à Haas de poursuivre l’aventure F1. Le duo Grosjean – Pedro Piquet n’a pas été au niveau, dépassé toute la saison. Devant Hamilton remporte un nouveau titre devant les deux Red Bull de Ricciardo et Verstapen. Mercedes remporte également le titre constructeur.