[WT] Giro d'Italia 2017 (L'Équipe) | Bilan P.703

[Trifon_Ivanov]

Je trouve presque cette étape plus dure que demain. Les cols courts et descentes qui s'enchaînent à 2000 mètres doivent faire hyper mal aux pattes.

[Liam]

Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.

Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.

[Trifon_Ivanov]

Sagan de bout en bout

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Gaviria s'amuse vraiment sur ce Giro et fait vraiment penser à Sagan les déclas fracassantes en moins.

D'ailleurs, une stat est passée sur l'Equipe, Gaviria a gagné 4 étapes de GT à 22 ans, c'est plus que n'importe quel autre grand sprinteur de ces dernières années sauf... Sagan qui en avait gagné 6 (3 sur la Vuelta à 21 ans et 3 sur le Tour à 22 ans)

Mais finalement Sagan n'en a que 11 à 26 ans, je pense que Gaviria en aura le double lorsqu'il sera le sprinter numéro un du peloton (l'est-il déjà ?)

[Svam]

Celle de demain est plus dure : dans un mauvais jour tu peux sauter dès le Stelvio et dans ce cas tu finis à 15'. L'an dernier tu sautais dans le Giau, ce qui permettait de limiter un peu mieux les dégâts

[Trifon_Ivanov]

Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.

Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.

Autant pour moi, j'avais pas bien lu.

Je pense quand même que Movistar (Herrada/Anacona/Izagirre) et Bahreïn (Siutsou/Pellizotti/Visconti) vont lâcher les chevaux dans le Stelvio et que ce sera sauve qui peut dans le peloton.

[Liam]

Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.

Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.

Autant pour moi, j'avais pas bien lu.

Je pense quand même que Movistar (Herrada/Anacona/Izagirre) et Bahreïn (Siutsou/Pellizotti/Visconti) vont lâcher les chevaux dans le Stelvio et que ce sera sauve qui peut dans le peloton.

Oui par les équipiers ça va durcir. Mais un leader qui attaque, non je n'y crois pas. Le retour de bâton peut être bien trop important avec ce qu'il reste derrière.

[Ninofishing]

Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.

Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.

Autant pour moi, j'avais pas bien lu.

Je pense quand même que Movistar (Herrada/Anacona/Izagirre) et Bahreïn (Siutsou/Pellizotti/Visconti) vont lâcher les chevaux dans le Stelvio et que ce sera sauve qui peut dans le peloton.

Oui par les équipiers ça va durcir. Mais un leader qui attaque, non je n'y crois pas. Le retour de bâton peut être bien trop important avec ce qu'il reste derrière.

C'est tout à fait ce qui peut bloquer les coureurs. Imaginez un gars qui part dans le Stelvio. La Movistar le contrôle à distance en maintenant un écart raisonnable. Il est repris dans l'Umbrail et Quintana contre immédiatement. Soit comment tout perdre en essayant de tout gagner... Je vois quand même Nibali faire la descente.

[bullomaniak]

Dans tes tactiques à adopter bullo, pourquoi différencier Quintana, Pinot et Nibali ? Tous ont intérêt à attaquer dans le Stelvio D'ailleurs l'idéal pour eux serait de partir à trois, récupérer des équipiers dans la descente et collaborer dans l'Umbrailpass jusqu'à ce que ça se fasse à la pédale.
Je me demande si les Sunweb rouleront en début d'étape si des Bahrain, FDJ et Movistar tentent de prendre l'échappée, au risque d'exploser dès le Mortirolo.

Déjà parce que Nibali n'a pas les moyens de lâcher tout le monde dans les cols comme Pinot et Quintana. Ensuite parce que ces scénarios sont adaptés sur les forces de chacun (individuelles et d'équipe). Quintana a l'équipe pour gérer toute l'étape et durcir très tôt, Pinot va plus s'appuyer sur Reichenbach qui est l'équipier le plus fort du peloton et qui peut tout faire exploser rapidement, mais où derrière il n'y a pas d'équipe capable de maintenir un très fort tempo longtemps pour permettre une course déjà très décantée à l'approche du sommet du Stelvio comme peut le faire la Movistar.

Sur Sunweb je pense qu'il rouleront seulement si ils n'ont personne devant.

Mais si Pinot ou Nibali attendent le dernier col, ils ne pourront ni décrocher Quintana, ni reprendre beaucoup sur Dumoulin. Donc ça ne sert à rien

Pinot n'a pas besoin de décrocher Quintana. Vu l'écart entre les deux il a encore d'autres étapes pour s'y atteler. (surtout que c'est un écart qui peut être comblé sur le chrono)

Pour Dumoulin ça n'a pas non plus une grande utilité de vouloir à tout prix le décrocher dès le Stelvio. L'intérêt est de le mettre le plus dans le dur possible avant de le faire exploser (ou décrocher franchement). Donc durcir de très loin et pour Pinot faire monter la fin du Stelvio à bloc histoire de tester. En un col aussi dur, si Dumoulin est raide les 2-3 minutes y sont déjà, il n'y aura pas moyen de lui taper 5 minutes de toute façon si Dumoulin n'a pas une défaillance et reste très solide (pour prendre un exemple, Purito à Fuente Dé explose dans le dernier col, Valverde qui était avec lui reprend presque Contador).

En vrai quelque chose d'intéressant pour Nibali-Pinot-Quintana serait un truc à la De Gendt sur le Giro 2012 où Dumoulin serait obligé d'assurer seul la poursuite sur un adversaires dangereux pour le maillot rose mais sur lequel il n'aurait pas sauté immédiatement car pas adversaire direct. Amador pourrait servir à ça pour Quintana mais il a montré trop de faiblesses. Donc par exemple un Steven Kruijswijk.

[rbl85]

Pinot lors de la conférence de presse qui dit '' je sais pas comment je me suis démerder pour faire un aussi mauvais sprint''

[Nephilim66]

J'arrive certainement après la bataille, mais j'ai vu le replay de l'E15 hier soir. Jeremy Roy en itw à la fin de l'étape m'a fait plaisir à voir. Il était heureux comme un petit gamin d'avoir pu prendre l'échappée de début d'étape et d'avoir galéré pendant 80km à moins d'une minute devant le peloton. Ca manque de le voir barouder... Rendez lui son ADN

[bullomaniak]

J'arrive certainement après la bataille, mais j'ai vu le replay de l'E15 hier soir. Jeremy Roy en itw à la fin de l'étape m'a fait plaisir à voir. Il était heureux comme un petit gamin d'avoir pu prendre l'échappée de début d'étape et d'avoir galéré pendant 80km à moins d'une minute devant le peloton. Ca manque de le voir barouder... Rendez lui son ADN

Jeremy Roy c'est le coureur de base de l'effectif Pinot et c'est aussi son choix de s'être permuté en lieutenant.

[Nephilim66]

J'arrive certainement après la bataille, mais j'ai vu le replay de l'E15 hier soir. Jeremy Roy en itw à la fin de l'étape m'a fait plaisir à voir. Il était heureux comme un petit gamin d'avoir pu prendre l'échappée de début d'étape et d'avoir galéré pendant 80km à moins d'une minute devant le peloton. Ca manque de le voir barouder... Rendez lui son ADN

Jeremy Roy c'est le coureur de base de l'effectif Pinot et c'est aussi son choix de s'être permuté en lieutenant.

Et ? Je ne comprends pas vraiment ta réponse. Ca ne change rien à ma remarque. En tant que spectateur, je préférerais le voir en baroudeur tout comme on voudrait voir Geraint Thomas sur les classiques.

[wawan]

Pour ceux qui regrettent que ce ne soit pas le "vrai" Mortirolo, on a vu hier avec un collègue que sur ce coté là, il y avait moyen aussi d'avoir une portion super dure en passant par la "Recta Contador"
http://road.cc/content/news/131072-vide ... his-honour

La section en question fait un peu moins de 3km à 13-14% https://www.strava.com/segments/9774980 (pas très fréquenté comme segment )
Ce qui en col complet donne ça: https://www.strava.com/segments/1970139
RCS connait vraisemblablement cette route vu que la bifurcation est indiqué sur le profil du col, du coup je suis surpris qu'ils n'ait pas profité de l’occasion pour l'étrenner

[Klira]

[Liam]

La touche de Nairo putain.

Miskine.

[Umb]

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[Ninofishing]

Et Nibali a dit qu'il ne roulera pas avec le maillot rose. Pour lui une place sur le podium ou top 5 ne change rien...

Ça m'étonnerait que Quintana ou Pinot fassent de même.
Et à mon avis, le Stelvio va être monté bon train par les Movistars, puis les attaques vont débuter dans les 4 derniers km, après le léger replat !

[Umb]

Bon esprit Fonzi

L'Équipe - mardi 23 mai 2017
GIRO 2017 16E ÉTAPE

Fonzi, (très) bon dernier

en direct du... Giro
G. S.

BERGAME (ITA) – Giuseppe Fonzi coule des jours heureux. Pas seulement parce qu'il ressemble à la vedette éponyme du célèbre feuilleton des années 70 (Happy Days), mais aussi parce qu'il est dernier au classement général (178e à près de 13' de Koshevoy, son coéquipier biélorusse) et qu'il y puise une célébrité inattendue. Au pied du car de la Wilier-Triestina, les gamins se pressent pour lui soutirer un autographe et Fonzi y sacrifie tout le temps nécessaire avec, en prime, un sourire épanoui.

Il faut dire que l'Italien est passé maître dans l'art de prendre son temps. En quinze étapes, il s'est toujours classé entre la 145e et la dernière place, qu'il a occupée trois fois. Paradoxalement, c'est après son meilleur résultat (sur le chrono) qu'il s'est emparé de la lanterne rouge. Depuis, le coureur de vingt-cinq ans s'est appliqué à ne plus la lâcher.

« Je pense que Dumoulin est hors de portée, grimace-t-il en faisant mine d'être très sérieux. Je crois même qu'il va être difficile de revenir sur Andreetta, le premier Italien devant moi au classement, qui me précède de près d'une demi-heure... Mon rôle était de rouler pour notre sprinteur, Jakub Mareczko. Je n'ai pas fait exprès d'être dernier, c'est venu comme ça. Sur une autre course, je n'en serais pas fier, mais sur le Giro, je trouve ça sympa. » Fonzi était chez lui dans l'étape du Blockhaus, où il s'est arrêté plusieurs fois pour saluer famille et amis, qui brandissaient parfois des portraits de Fonzie, l'autre. « Mon père a une entreprise de transport routier à Pescara, juste à côté, explique-t-il. Il avait fait garer ses camions (avec « Fonzi » écrit en lettres gigantesques) tout le long de la route. C'était incroyable. Et tous ces gens venus me supporter… J'aurais bien voulu avaler quelques brochettes, mais je crois que mon directeur sportif, Luca Scinto, se serait énervé. »

[Floflo59250]

Bon esprit Fonzi

L'Équipe - mardi 23 mai 2017
GIRO 2017 16E ÉTAPE

Fonzi, (très) bon dernier

en direct du... Giro
G. S.

BERGAME (ITA) – Giuseppe Fonzi coule des jours heureux. Pas seulement parce qu'il ressemble à la vedette éponyme du célèbre feuilleton des années 70 (Happy Days), mais aussi parce qu'il est dernier au classement général (178e à près de 13' de Koshevoy, son coéquipier biélorusse) et qu'il y puise une célébrité inattendue. Au pied du car de la Wilier-Triestina, les gamins se pressent pour lui soutirer un autographe et Fonzi y sacrifie tout le temps nécessaire avec, en prime, un sourire épanoui.

Il faut dire que l'Italien est passé maître dans l'art de prendre son temps. En quinze étapes, il s'est toujours classé entre la 145e et la dernière place, qu'il a occupée trois fois. Paradoxalement, c'est après son meilleur résultat (sur le chrono) qu'il s'est emparé de la lanterne rouge. Depuis, le coureur de vingt-cinq ans s'est appliqué à ne plus la lâcher.

« Je pense que Dumoulin est hors de portée, grimace-t-il en faisant mine d'être très sérieux. Je crois même qu'il va être difficile de revenir sur Andreetta, le premier Italien devant moi au classement, qui me précède de près d'une demi-heure... Mon rôle était de rouler pour notre sprinteur, Jakub Mareczko. Je n'ai pas fait exprès d'être dernier, c'est venu comme ça. Sur une autre course, je n'en serais pas fier, mais sur le Giro, je trouve ça sympa. » Fonzi était chez lui dans l'étape du Blockhaus, où il s'est arrêté plusieurs fois pour saluer famille et amis, qui brandissaient parfois des portraits de Fonzie, l'autre. « Mon père a une entreprise de transport routier à Pescara, juste à côté, explique-t-il. Il avait fait garer ses camions (avec « Fonzi » écrit en lettres gigantesques) tout le long de la route. C'était incroyable. Et tous ces gens venus me supporter… J'aurais bien voulu avaler quelques brochettes, mais je crois que mon directeur sportif, Luca Scinto, se serait énervé. »

Cet homme

[Ninofishing]

Ça va être une boucherie