Modérateur: Animateurs cyclisme pro
Ninofishing a écrit:Sagan de bout en boutL'affichage du tweet est bloqué par votre navigateur.
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Liam a écrit:Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.
Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.
Trifon_Ivanov a écrit:Liam a écrit:Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.
Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.
Autant pour moi, j'avais pas bien lu.
Je pense quand même que Movistar (Herrada/Anacona/Izagirre) et Bahreïn (Siutsou/Pellizotti/Visconti) vont lâcher les chevaux dans le Stelvio et que ce sera sauve qui peut dans le peloton.
Liam a écrit:Trifon_Ivanov a écrit:Liam a écrit:Difficile d'etablir une hiérarchie des difficultés et l'idée n'était pas de comparer les deux étapes en elle-même. Je le dis d'entrée elles sont différentes.
Elles ont comme point commun d'être longues et extrêmement difficiles toutes deux, exploitant au mieux la filière endurance.
Autant pour moi, j'avais pas bien lu.
Je pense quand même que Movistar (Herrada/Anacona/Izagirre) et Bahreïn (Siutsou/Pellizotti/Visconti) vont lâcher les chevaux dans le Stelvio et que ce sera sauve qui peut dans le peloton.
Oui par les équipiers ça va durcir. Mais un leader qui attaque, non je n'y crois pas. Le retour de bâton peut être bien trop important avec ce qu'il reste derrière.
Nico32 a écrit:bullomaniak a écrit:Nico32 a écrit:Dans tes tactiques à adopter bullo, pourquoi différencier Quintana, Pinot et Nibali ? Tous ont intérêt à attaquer dans le Stelvio D'ailleurs l'idéal pour eux serait de partir à trois, récupérer des équipiers dans la descente et collaborer dans l'Umbrailpass jusqu'à ce que ça se fasse à la pédale.
Je me demande si les Sunweb rouleront en début d'étape si des Bahrain, FDJ et Movistar tentent de prendre l'échappée, au risque d'exploser dès le Mortirolo.
Déjà parce que Nibali n'a pas les moyens de lâcher tout le monde dans les cols comme Pinot et Quintana. Ensuite parce que ces scénarios sont adaptés sur les forces de chacun (individuelles et d'équipe). Quintana a l'équipe pour gérer toute l'étape et durcir très tôt, Pinot va plus s'appuyer sur Reichenbach qui est l'équipier le plus fort du peloton et qui peut tout faire exploser rapidement, mais où derrière il n'y a pas d'équipe capable de maintenir un très fort tempo longtemps pour permettre une course déjà très décantée à l'approche du sommet du Stelvio comme peut le faire la Movistar.
Sur Sunweb je pense qu'il rouleront seulement si ils n'ont personne devant.
Mais si Pinot ou Nibali attendent le dernier col, ils ne pourront ni décrocher Quintana, ni reprendre beaucoup sur Dumoulin. Donc ça ne sert à rien
Nephilim66 a écrit:J'arrive certainement après la bataille, mais j'ai vu le replay de l'E15 hier soir. Jeremy Roy en itw à la fin de l'étape m'a fait plaisir à voir. Il était heureux comme un petit gamin d'avoir pu prendre l'échappée de début d'étape et d'avoir galéré pendant 80km à moins d'une minute devant le peloton. Ca manque de le voir barouder... Rendez lui son ADN
bullomaniak a écrit:Nephilim66 a écrit:J'arrive certainement après la bataille, mais j'ai vu le replay de l'E15 hier soir. Jeremy Roy en itw à la fin de l'étape m'a fait plaisir à voir. Il était heureux comme un petit gamin d'avoir pu prendre l'échappée de début d'étape et d'avoir galéré pendant 80km à moins d'une minute devant le peloton. Ca manque de le voir barouder... Rendez lui son ADN
Jeremy Roy c'est le coureur de base de l'effectif Pinot et c'est aussi son choix de s'être permuté en lieutenant.
L'Équipe - mardi 23 mai 2017
GIRO 2017 16E ÉTAPE
Fonzi, (très) bon dernier
en direct du... Giro
G. S.
BERGAME (ITA) – Giuseppe Fonzi coule des jours heureux. Pas seulement parce qu'il ressemble à la vedette éponyme du célèbre feuilleton des années 70 (Happy Days), mais aussi parce qu'il est dernier au classement général (178e à près de 13' de Koshevoy, son coéquipier biélorusse) et qu'il y puise une célébrité inattendue. Au pied du car de la Wilier-Triestina, les gamins se pressent pour lui soutirer un autographe et Fonzi y sacrifie tout le temps nécessaire avec, en prime, un sourire épanoui.
Il faut dire que l'Italien est passé maître dans l'art de prendre son temps. En quinze étapes, il s'est toujours classé entre la 145e et la dernière place, qu'il a occupée trois fois. Paradoxalement, c'est après son meilleur résultat (sur le chrono) qu'il s'est emparé de la lanterne rouge. Depuis, le coureur de vingt-cinq ans s'est appliqué à ne plus la lâcher.
« Je pense que Dumoulin est hors de portée, grimace-t-il en faisant mine d'être très sérieux. Je crois même qu'il va être difficile de revenir sur Andreetta, le premier Italien devant moi au classement, qui me précède de près d'une demi-heure... Mon rôle était de rouler pour notre sprinteur, Jakub Mareczko. Je n'ai pas fait exprès d'être dernier, c'est venu comme ça. Sur une autre course, je n'en serais pas fier, mais sur le Giro, je trouve ça sympa. » Fonzi était chez lui dans l'étape du Blockhaus, où il s'est arrêté plusieurs fois pour saluer famille et amis, qui brandissaient parfois des portraits de Fonzie, l'autre. « Mon père a une entreprise de transport routier à Pescara, juste à côté, explique-t-il. Il avait fait garer ses camions (avec « Fonzi » écrit en lettres gigantesques) tout le long de la route. C'était incroyable. Et tous ces gens venus me supporter… J'aurais bien voulu avaler quelques brochettes, mais je crois que mon directeur sportif, Luca Scinto, se serait énervé. »
Umb a écrit:Bon esprit FonziL'Équipe - mardi 23 mai 2017
GIRO 2017 16E ÉTAPE
Fonzi, (très) bon dernier
en direct du... Giro
G. S.
BERGAME (ITA) – Giuseppe Fonzi coule des jours heureux. Pas seulement parce qu'il ressemble à la vedette éponyme du célèbre feuilleton des années 70 (Happy Days), mais aussi parce qu'il est dernier au classement général (178e à près de 13' de Koshevoy, son coéquipier biélorusse) et qu'il y puise une célébrité inattendue. Au pied du car de la Wilier-Triestina, les gamins se pressent pour lui soutirer un autographe et Fonzi y sacrifie tout le temps nécessaire avec, en prime, un sourire épanoui.
Il faut dire que l'Italien est passé maître dans l'art de prendre son temps. En quinze étapes, il s'est toujours classé entre la 145e et la dernière place, qu'il a occupée trois fois. Paradoxalement, c'est après son meilleur résultat (sur le chrono) qu'il s'est emparé de la lanterne rouge. Depuis, le coureur de vingt-cinq ans s'est appliqué à ne plus la lâcher.
« Je pense que Dumoulin est hors de portée, grimace-t-il en faisant mine d'être très sérieux. Je crois même qu'il va être difficile de revenir sur Andreetta, le premier Italien devant moi au classement, qui me précède de près d'une demi-heure... Mon rôle était de rouler pour notre sprinteur, Jakub Mareczko. Je n'ai pas fait exprès d'être dernier, c'est venu comme ça. Sur une autre course, je n'en serais pas fier, mais sur le Giro, je trouve ça sympa. » Fonzi était chez lui dans l'étape du Blockhaus, où il s'est arrêté plusieurs fois pour saluer famille et amis, qui brandissaient parfois des portraits de Fonzie, l'autre. « Mon père a une entreprise de transport routier à Pescara, juste à côté, explique-t-il. Il avait fait garer ses camions (avec « Fonzi » écrit en lettres gigantesques) tout le long de la route. C'était incroyable. Et tous ces gens venus me supporter… J'aurais bien voulu avaler quelques brochettes, mais je crois que mon directeur sportif, Luca Scinto, se serait énervé. »
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